" L'homme tue et la femme rend fou. Une société peut survivre au meurtre, pas à la folie. C'est pourquoi laisser le pouvoir aux femmes est suicidaire. "
Cette remarque d'un commentateur me paraît très profonde.
1) c'est vrai pour les individus. On nous parle des femmes battues. Mais les salauds à œillères oublient de voir que, si les hommes frappent et tuent, les femmes humilient et poussent au suicide. J'ai quelques exemples autour de moi que je ne peux vous citer très précisément de crainte que des familiers s'y reconnaissent.
Le surnom prétendument affectueux mais subtilement dépréciatif. La réflexion assassine en public. La victimisation et la culpabilisation ("C'est moi qui fais tout". Les tâches ménagères sont un levier très efficace de pouvoir des femmes sur les hommes). Etc.
Le grand classique de cette humiliation par les femmes, c'est l'homme qui se suicide, quelquefois après avoir tué toute sa famille.
2) c'est vrai pour la société. Quiconque ne voit pas que notre société est devenue complètement folle depuis que les femmes y ont pris le pouvoir est lui-même fou comme un lapin de six semaines.
3) une société féminisée meurt car la féminisation sape l'autorité qui est indispensable à la structuration de la société. C'est flagrant dans les domaines de la sécurité et de l'éducation. Mais il y a plus fondamental encore : la société des #MeToo et des #BalanceTonPorc ne fait pas d'enfants puisqu'elle érige en mode de vie la peur névrotique du mâle des femmes immatures. Elle disparaît donc en deux ou trois générations.
Se trouve ainsi invalidée la phrase de Chamfort : "La nature a doté les hommes d'un attrait irrésistible pour les femmes car si elle avait du compter sur les qualités propres de celles-ci pour séduire les hommes, l'espèce humaine ne se fût pas perpétuée".
Dans une société féminisée, "l'attrait irrésistible" des hommes pour les femmes n'est plus si irrésistible et l'espèce humaine cesse de se perpétuer.
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