Éric Zemmour : « L'éternel féminin, impossible à dépasser »
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Alors, pourquoi une telle opposition entre la réalité féminine et le discours féministe ? Là aussi, notre auteur, après avoir endossé son armure d'études, ose transgresser un autre tabou: « Si environ 5,5 % de la population féminine générale n'est pas “exclusivement hétérosexuelle”, le pourcentage s'élève à près de 45 % chez les militantes féministes. »
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Autrement dit, Peggy Sastre confirme avec des chiffres l’intuition populaire que les féministes sont très souvent des gouines et des mal-baisées, des femmes qui détestent plus (ou aiment moins) les hommes que la moyenne.
Le populo a tout simplement l'expérience du quotidien : les féministes que l'on a autour de soi sont très rarement des femmes épanouies avec un homme. Ce sont souvent des célibataires aigries, des divorcées abandonnées, des femmes sur le retour, des mal dans leur peau ou des lesbiennes. Il suffit de voir la tronche revêche de Caroline de Haas pour comprendre le problème.
Et ce sont ces gens gouvernés par leur ressentiment et par l'aigreur qu'on laisse dominer la parole publique.
Inversement, les séductrices ne sont pas féministes, parce que le féminisme militant les prive de leurs armes : si flirter avec l'aguicheuse fait courir à l'homme le risque de perdre son boulot, l'aguicheuse perd son pouvoir.
Le féminisme est aussi (surtout ?) la guerre des renfrognées contre les séduisantes.
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