La connerie qui sert à nous fourguer toutes les saloperies européistes depuis quarante ans est une idiotie de technocrates qui ne voient que les chiffres : « big is beautiful ».
D’après ce raisonnement d’abrutis, il faudrait absolument que les pays européens atteignent la taille des Etats-Unis ou de la Chine (on se demande bien pourquoi) et s'unissent à cet effet en un Frankenstein bureaucratique. Cette fausse évidence ne tient pas une minute dès qu'on prend la peine d'y réfléchir.
En réalité, comme toutes les idées des technocrates, c’est une fausse bonne idée et une vraie connerie, tout simplement parce que ces gens ont une vision erronée de l'humanité, maladie qui les condamne à se tromper sans cesse, mais comme ils ont une vanité proportionnelle à leur bêtise, cela ne les arrête pas (d'autant plus que ce sont les autres qui subissent les conséquences désastreuses de leurs conneries).
Prenons un exemple simple, il y a un pays qui n’a jamais été ni le plus peuplé ni le plus vaste. Il s’appelle l’Angleterre. C’est bien connu, ce pays a échoué, il n’a jamais vraiment compté dans l'histoire, personne ne l’a écouté et il a été régulièrement dominé.
On pourrait aussi parler de Venise, de la Suisse et même (tiens comme c'est étrange) de la France des années 60.
En réalité, bien plus que la taille, ce qui compte, ce sont la persévérance, la qualité de la stratégie et le patriotisme.
Il est possible cependant que les Anglais aient un secret : l'ennui de leurs dimanches et la fadeur de leur thé, qui obligent les entreprenants à aller voir ailleurs et à conquérir le monde.
Je fais un billet court, parce que c'est le sujet mais aussi parce que je ne cherche pas à vous convaincre mais à vous faire prendre conscience. Une fois que vous aurez réalisé quelle escroquerie est ce big is beautiful (je parle le Macron dans le texte) européiste au regard de l'histoire et du bon sens politique, vous trouverez vous-mêmes les arguments.
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