Je voudrais rappeler une vérité toute simple : il n’y a pas de « crise migratoire », comme nous la présentent les médias du Système, sorte de calamité naturelle due au différentiel démographique entre l’Afrique et l’Europe.
En effet, il suffit de secourir les candidats à l’immigration si nécessaire et de les renvoyer d’où ils viennent. Et s’ils refusent de dire d’où le viennent (cas fréquent), de les renvoyer dans le pays le plus vraisemblable, qui saura les traiter comme il convient.
Cela ne pose aucune difficulté insurmontable. C’est pourquoi il n’y a pas de crise migratoire.
En revanche, il y a bien une crise, que l’expression « crise migratoire » vise à dissimuler. Elle est politique. C’est la crise des gouvernants européens, notamment français, allemands (c’est la même chose) et espagnols, qui, par idéologie, trahissent sciemment leur devoir élémentaire de défense des frontières.
Il y a donc à la tête de pays européens des gens qui méritent de passer en Haute Cour. Pas étonnant que cela provoque une crise ! On en a connu pour moins cela !
Mais ce n’est pas une crise migratoire. C’est une crise politique de la caste dirigeante qui « occupe cette place depuis trop longtemps pour le peu de bien qu’elle y a fait ».
Dois-je rappeler que cette célèbre citation de Cromwell, utilisée en mai 1940 pour chasser le gouvernement Chamberlain, commence par « Au nom de Dieu, partez ! Quittez cette place que vous occupez ... » ?
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