Des figures de Gilets Jaunes intéressantes commencent à émerger qui ne sont pas celles qui sont abusivement promues par les medias complices du macronisme (Drouet, Nicolle).
Fabrice Grimal. Sociologiquement, ce n’est pas un intellectuel gauchiste. Il correspond beaucoup mieux au profil des GJ des ronds-points. C’est à l’évidence le plus intéressant, le plus original.
Regardez bien la date de cette video :
Zoom – Fabrice Grimal : la révolution en France, c’est pour 2023 ! (17/04/2018) from TV Libertés on Vimeo.
François Boulo : un gauchiste (voir ci-dessous à propos de Branco ce que je pense des Gilets Jaunes gauchistes) mais il est très clair, c'est agréable.
Une demi-heure et pas un mot sur l'UE et sur l'Euro (c'est pourquoi ils tournent en rond avec les vielles lunes gauchistes : si on ne dit pas « fermons les frontières de la France », on est condamné à taxer , taxer, taxer) ! Hallucinant :
(Insupportables les « dans c'pays »).
Je donne un accessit à Juan Branco.
Ses idées n’ont pas grand intérêt : il est bloqué dans son logiciel gauchiste type mélenchoniste. Il ne parle ni d’identité, ni de souveraineté, ni d’immigration, ni d’écologie humaine, ni de conservatisme raisonnable, ni de patriotisme. Bref, il passe à côté de tout ce qui fait la spécificité, explicite ou implicite, des Gilets jaunes. Il représente la nocivité de la gauchisation des GJ : le gauchisme n’est absolument pas adapté à la nouvelle donne provoquée par la mondialisation. Le gauchisme est internationaliste, c’est le problème et non le remède.
Cependant, il faut reconnaître à Branco un véritable courage moral (courage intellectuel, pas vraiment. Courage physique, je ne sais pas) puisqu’il renonce à une carrière toute tracée.
Et un Gilet jaune d'avant les Gilets jaunes :
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