Le rapprochement semble excessif, surtout s’agissant d’une malheureuse affaire déjà trop exploitée.
Pourtant, j’ai l’impression que l’on est, dans les deux cas, en face du monde de la « ouine » qui cherche à éliminer, comme d’habitude de manière implacable, sans que rien ne le retienne, avec les armes des puissants, tout ce qui le nie : la faiblesse, la vulnérabilité, la dépendance, la mort, et, pire que tout, le refus de faire de la « ouine » la valeur suprême.
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