Nous savons tous que l'hystérisation de l'actualité est un moyen de contrôle des foules. Quand les gens ont une peur panique, ils ne pensent pas aux choses qui fâchent. C'est, à mon avis, le fond de cette histoire de canicule.
Car la chaleur actuelle n'a rien d'extraordinaire à Paris, un quart d'heure de balade sur internet suffit à le vérifier. Il n'y a d'ailleurs pas besoin de cela : j'ai des souvenirs de nuits étouffantes, nous en sommes loin.
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