Les parallèles entre la peur du réchauffement climatique et la peur du COVID sont nombreux parce qu'elles ont pour cause une même maladie spirituelle et intellectuelle, qui touche principalement l'occident.
Passons les en revue :
1) le scientisme. La croyance fétichiste dans la science définie comme l'affirmation de certitudes inébranlables, de prévisions forcément justes, issues de modèles numériques hautement fantaisistes et de données chiffrées très contestables.
2) la peur irrationnelle. L'hypothèse disant qu'un éventuel réchauffement climatique est très néfaste relève de la croyance et non de la science. Au contraire, l'évolution des techniques, notamment agricoles, conduit à penser que nous saurions profiter des avantages et compenser, au moins en partie, les inconvénients. S'agissant du COVID, maintenant que l'on commence à y voir clair : le nombre de morts est sur-évalué, on a classé à peu près n'importe quoi « mort COVID » (anecdote : on a classé aux Etats-Unis « mort COVID » un accident de moto sous prétexte que le motard avait été testé positif !) et on sait que la population vulnérable commence au-delà de 70 ans. De plus, on a des remèdes (IHU, Zelenko). Bref, pas vraiment de quoi avoir peur (et puis, l'épidémie est finie en Europe depuis deux mois).
Nous finirons dans l'ordre de grandeur de la grippe de Hong-Honk en 1969. Nous devrions sérieusement nous interroger sur la différence de réaction entre 1969 et 2020 : sang-froid voire indifférence en 1969. Panique quasi-mondiale en 2020 (pas de panique en Afrique, rationalité en Asie).
Raoult, qui est loin de n'avoir dit que des conneries, a écrit un livre il y a quelques années, pour dire que l'Europe était devenue le continent de la peur (une des étiquettes pour les billets de ce blog) et que ça allait nous jouer des tours. Jean-Paul II disait « N'ayez pas peur ! » mais il est mort.
3) le remède-miracle. Les énergies « renouvelables » d'un coté, la vaccin de l'autre.
4) l'exigence de coercition. Il faut taxer, brider, empêcher, interdire, légiférer ... et faire taire.
5) la pseudo-nécessité du gouvernement mondial pour faire face. au problème Inutile que j'y revienne, Bill (Gates) vous expliquera
6) la complicité des mammouths mondialisés dans la contagion de la peur. Là aussi, Bill a des choses à vous expliquer.
7) le martèlement médiatique. On se souvient du croque-mort en chef Salomon égréant ses chiffres tous les soirs. Si on avait pareil avec n'importe quelle maladie, on aurait créé aussi une panique.
Je laisse à votre jugement la cause commune à ces deux lubies pour abrutis. Je vous rappelle cette phrase de Claude Tresmontant, que je lis en ce moment : « Les grandes catastrophes humaines sont préparées par des fautes dans l'ordre de la pensée ».
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Superstition
Nombreux sont les saints qui ont enchaîné et tué un dragon. C’était, notamment, le symbole de la victoire du christianisme sur le paganisme.
[…]
Aujourd’hui on ne croit plus en ces fariboles de l’obscurantisme. D’ailleurs on ne croit plus en rien. C’est donc le moment de réinventer les pires superstitions. Ce n’est plus un très grand dragon qui terrorise, c’est un tout petit virus. Mais la terreur est la même et le culte est aussi exigeant. Les grands-prêtres si rationnels qui nous gouvernent (et plus encore, si c’était possible, qui gouvernent les médias), ne pouvant plus offrir d’enfants (le Moloch du droit à l’avortement les a déjà pris) ont offert quelques vieux par la grâce du Rivotril. Mais surtout il fallait imposer la dictature du dieu virus. Et elle connaît aujourd’hui un regain, avec l’obligation du port du masque. Or il s’agit réellement, clairement, évidemment, d’une superstition. Voyez celui-ci, tout seul dans son jardin, avec un masque. Voyez celui-là, tout seul dans sa voiture, avec un masque. Comment craignent-ils d’être « contaminés » ? Qui craignent-ils de « contaminer » ? Et je vois ces braves gens, contaminés par la propagande de la nouvelle religion, qui déambulent dans les rues avec un masque, dans des villages et des bourgs où il n’y a pas eu la moindre contamination depuis le début de l’épidémie. Et qui sont persuadés de faire acte de vertu. D’être des saints de la nouvelle religion.
C’est une nouvelle illustration de la vérité selon laquelle quand on ne croit plus à la vraie religion on tombe dans la superstition, surtout quand on se croit rationnel, et d’autant plus esclave qu’on se croit « libéré ».
Mais comme pour tout, il y a le bon côté des choses, qui permet de sourire un peu. Sans masque. Puisque, évidemment, je ne célèbre pas mardi-gras en été, il m’est interdit par la nouvelle religion d’entrer dans les boutiques. Il faut donc faire autrement pour acheter à manger. C’est l’occasion de découvrir des marchés que je ne connaissais pas, avec de sympathiques commerçants – ceux-là qui n’ont pas de masques et qui ne sont donc pas des adeptes de la nouvelle religion, et le montrent de façon ostensible et, redisons-le, souriante, ce que ne peuvent pas faire les sinistres adeptes masqués de la nouvelle religion.
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Je suis très inquiet parce que, au stade de folie où nous sommes, toutes les catastrophes sont possibles.
On nous a enfilé le réchauffement climatique, le COVID, c'est l'escalade dans la connerie. Alors, pour la suite, je crains le pire. Le suicide collectif des blancs pour faire plaisir aux noirs ? La conversion à l'islam pour apaiser les dieux du « vivrensemble » ? Autre chose aussi farfelu et aussi con ?
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