Voici quelques considérations :
> je touve le mariage homosexuel ridicule et l'adoption par des couples homosexuels néfaste.
> je ne considère pas que toutes les cultures et toutes les opinions se valent.
> le métissage ne m'apparaît pas comme le souverain Bien.
> L'anti-racisme tel que pratiqué aujourd'hui en France par les associations qui s'en réclament n'est pas une attitude morale mais un comportement totalitaire destiné à culpabiliser et à réduire au silence la majorité, comptentueusement baptisée "petits blancs".
La meilleure preuve en est qu'aucune de ces associations n'a porté plainte lorsque des bandes de banlieue ont exprimé ouvertement et physiquement leur racisme anti-blanc lors des manifestations contre le CPE. Il faut traquer, disséquer à la pince à épiler, le moindre propos d'un blanc pour y déceler la plus petite trace d'un insupportable racisme mais quand un noir dit (voir article du Monde sur le CPE) : "Les blancs sont des tapettes qui ne savent pas se battre.", ce n'est pas du racisme, c'est un problème sociologique exprimé par une pauvre victime "avec ses mots à lui".
> se préoccuper des animaux et de la nature, pourquoi pas, mais les hommes d'abord.
> il ne m'est jamais venu à l'idée de faire un procès à quelqu'un qui m'insultait ou qui me choquait.
> je ne me sens pas appartenir à aucun groupe, à part peut-être celui des Français.
> le savoir a une valeur en soi et le transmettre suppose de la méthode.
> un homme n'est pas une femme comme les autres.
> L'égalitarisme sous toutes ses formes est criminel : les hommes ne sont égaux ni en talents, ni en capacités, ni en désirs. L'égalité ne peut se faire que d'un point de vue partiel, partial, et par la médiocrité.
> le rolleriste, surtout en troupeau, me semble être un point bas de l'intelligence.
> le sport m'intéresse peu et le sport qui passe à la télé pas du tout.
> La télé elle-même m'ennuie profondément ; d'ailleurs depuis quelques temps, je m'en passe sans souffrance (seule exception, je regarde quelquefois "C dans l'air" sur internet).
> Je suis capable, avec un peu d'attention, d'écrire sans fautes d'orthographe ni de grammaire.
Bref, tout ceci étant dit, je peux poser cette question : suis-je adapté au monde qui vient ?
Il est vrai que cela n'a guère d'importance : le monde qui vient est sur la pente d'un suicide accéléré, ce qui finira bien par prouver que trop de ridicule peut tuer.
Il sera temps alors d'immigrer aux USA, de se construire une cabane au fin fond de la Pennsylvanie ou du Nevada, avec quelques étagères pour les livres, Homère, Montaigne, Cervantes, Shakespeare, pourquoi pas une Bible, et puis voilà.
Vous n'êtes pas seul :-)
RépondreSupprimerMais je ne comprends pas ce que vous avez contre les rolleristes.
Le monde ne court pas au suicide, il va simplement subir un changement important, qui pourra réduire la population mondiale. De tout temps l'environnement, par les famines, a régulé la population humaine, les 2 derniers siècles n'ont été qu'une exception.
Lisez "L'humanité disparaîtra, bon débarras" d'Yves Paccalet.
RépondreSupprimerIntéressant billet d'humeur d'un ex-écolo-bobo convaincu qui, l'âge avançant et la sagesse l'accompagnant, va jusqu'à regretter d'avoir engendré une descendance.
Ca semble un peu extrémiste mais il expose son point de vue bien mieux que ce que je vous le retranscris.
En plus ça se lit vite.
Je vois très bien ce qu'on peut reprocher au rolleriste se déplaçant au crépuscule en troupeau, sûr de la force du nombre et de son droit inaliénable de couper toute circulation (même pietonne) qui pourrait entraver sa marche en avant vers... (tiens, vers où d'ailleurs ? je ne suis pas sûr qu'eux-mêmes le sachent !)
RépondreSupprimerEn revanche, en quoi le couple de pédés du 5e entrave ma liberté en souhaitant faire une déclaration commune ou acheter un appartement ensemble et élever benoitement le rejeton d'une précédente union...?
> Paccalet éprouve une haine de l'espèce humaine qui n'est pas la mienne. Il est farouchement opposé à mon "Protéger les animaux, pourquoi pas ? Mais les hommes premiers servis".
RépondreSupprimer> Si vous ne voyez pas en quoi un rolleriste est ridicule, j'en suis navré pour vous. Un rolleriste n'est rien de très précis : ni un piéton, ni un véhicule ; d'ailleurs on en trouve à la fois sur les trottoirs et sur les routes ; il dérange dans les deux cas (mais comme il est sans-gêne -sinon il ne ferait pas du roller- il n'en est pas affecté) il se tient souvent dans une position risible, il fait des efforts désespérés pour paraître heureux de courir en permence le risque de percuter violemment un homme ou un objet et il est harnaché avec nettement moins d'élégance qu'un chevalier médiéval.
> Le mariage homosexuel n'entrave pas ma liberté. Mais cette façon de vouloir "faire comme tout le monde" sans faire comme tout le monde, ce conformisme dans l'anti-conformisme me laisse pantois et très narquois. J'en suis resté à des idées simples : le mariage, c'est pour fonder une famille ; la famille, c'est pour avoir des enfants. Je suis curieux de voir le jour où un couple homosexuel fera un enfant.
Quant à mon refus de l'adoption par les homosexuels, il découle du fait que l'enfant lui n'a rien demandé et que c'est dèjà assez de risques psychologiques que d'adopter sans en plus rajouter celui d'être élevé par un couple anormal. L'adoption par les homosexuels me semble, comme la garde alternée lors des divorces, une de ses situations où les adultes pensent plus à assouvir leurs désirs qu'à l'avenir de l'enfant.
J'ai peur d'être minoritaire sur ces deux derniers sujets mais je n'en suis pas sûr : minoritaire dans le monde artistico-méddiatico-tapageur, assurément ; minoritaire dans l'ensemble du pays, ça demande à être vérifié.
Après tout, les dernières élections ont montré, pour le meilleur et pour le pire, que l'intelligentsia parisianiste, les imbéciles qui se prennent tellement pour l'Intelligence peronnifiée qu'ils ont cru devoir en faire une bouffone pétition (le fait que le gouvernement n'applique pas leurs idées aurait été une guerre contre l'intelligence !!!), était très éloignée des pensées, des opinions et des préoccupations majoritaires.
Je ne suis pas sûr que vous soyez si minoritaire en refusant aux couples homo d'avoir des enfants : je trouve au contraire qu'il s'agit là d'un conservatisme français bien dans l'air du temps...
RépondreSupprimerCela m'étonne quelque peu de votre part, d'autant plus qu'il s'agit là de nier une réalité : celle des couples de lesbiennes élevant déjà des enfants. Si elles sont lesbiennes, elles sont aussi femmes et leur désir de maternité n'est pas fonction de leur orientation sexuelle. Qui plus est, le comprtement sexuel des hommes facilite le choix du géniteur, choisi au détour d'un bar ou d'une boite de nuit !
Enfin, il faudrait de bons arguments pour me convaincre que l'éducation donnée par deux parents, même si ceux-ci sont du même sexe, soit moins bonne que celle donnée par un parent seul (à la suite d'une rupture, d'un décès, etc.). Quoiqu'il en soit, il est préférable d'avoir 2 adultes qui entoure un enfant plutot qu'un seul !
"Quoiqu'il en soit, il est préférable d'avoir 2 adultes qui entoure un enfant plutot qu'un seul !"
RépondreSupprimerJustement, je n'en sais rien. Ca dépend tellement des cas.
Ma position est agnostique : je suis contre l'adoption par les homosexuels parce que ça me semble un risque psychologique non maitrisé et non nécessaire.