Quand on vous présente une question fermée, comme le dilemme qui vous est posé en titre de ce message, c'est souvent qu'on veut vous cacher quelque chose.
En l'occurrence, il existe un troisième choix de bon sens dont, par peur, on évite de parler : supprimer les aides et les avantages sociaux pour les immigrés clandestins.
Il n'y aurait alors besoin ni d'expulsions ni de régularisations massives, les immigrés sans travail repartiraient volontairement chez eux. Utopique ? Irréaliste ? C'est précisément ce qui est arrivé en Amérique après la crise de 1929.
Milton Friedman pense qu'immigration et Etat-providence sont incompatibles. Mais Friedman est un libéral, donc tout juste bon à être insulté, en aucun cas écouté ; n'est-ce pas ?
Ce 3ème choix pose également la question de ce qu'il faudrait faire de tout ceux déjà présent avant cette mesure. Donc on en revient à la question initiale : Expulser ou Régulariser ?
RépondreSupprimerNon, car il s'agirait de départs volontaires du fait que le robinet d'argent de la collectivité serait fermé.
RépondreSupprimerEn auront-ils seulement tous les moyens ? Quoi qu'il en soit je plains nos pays voisins à ce moment-là.
RépondreSupprimerBiensur on ne sanctionnerait ainsi que l'immigré clandestin. Et les entreprises qui profitent de ses gens ?
RépondreSupprimerhttp://www.monde-diplomatique.fr/2005/06/HERMAN/12514