Voici une scène bien digne de la France, pays de la courtoisie et du savoir-vivre, vous savez le pays qui donne le ton en Europe et dans le monde (ah, non, ça c'était au XVIIème siècle) :
Voilà donc un imbécile vulgaire qui refuse de serrer la main du président de la République
(tous les militaires savent qu'on salue la fonction, non l'homme) avec cette phrase abominable «Tu me salis !», c'est ce qu'un nazi aurait dit à un juif voulant lui serrer la main, et le président, tout aussi imbécile et vulgaire de répondre «Casse-toi, pauvre con !»
Il est effectivement temps de rétablir les cours de politesse à l'école, mais qui les donnera ? Les profs, qui insultent Sarkozy ou dévorent Marianne qui insulte Sarkozy ?
Pauvre France !
toujours le même tonneau... que voulez-vous que l'on puisse en dire?
RépondreSupprimerNous sommes en train de vivre une montée de la violence physique comme verbale, de l'intolérance et de tout ce qui crée un terreau favorable à des bouffées de violence qui peuvent déboucher sur le pire...
Il ne suffit plus que d'attendre le petit grain de sable qui provoquera la crise majeure... impuissant, malheureusement!
Si vous observez bien la visite du Président de la République dans la classe de Périgueux à l'occasion de l'annonce des nouveaux programmes, il se promène parmi les élèves...les mains dans les poches.
RépondreSupprimerNous vivons une époque moderne dirait Philippe Meyer
Les réactions hystériques de certains à la vulgarité de Nicolas Sarkozy sont assez amusantes : je n'ai pas souvenir que la gauche ait jamais reculé devant la vulgarité quand il s'est agit de déconsidérer un adversaire.
RépondreSupprimerUne remarque que je n'avais pas faite tant elle me paraissait évidente : le pauvre con l'a fait exprès d'être là.
RépondreSupprimerJe suis déjà allé au Salon de l'Agriculture : il est impossible d'approcher une personnalité sans le vouloir.
Je ne dis pas que c'est un coup monté, ce qui supposerait une organisation, mais c'est au moins une provocation, dans laquelle Sarkozy a eu la bêtise de tomber.
Ma remarque, évidente, est suscitée par la niaiserie de certains commentaires : les journalistes, dont la détection des manipulations devrait être une partie du savoir-faire, à moins qu'ils soient eux-mêmes des manipulateurs, ne sont pas brillants sur ce coup.
La haine anti sarko est revelatrice de l'etat de la democratie dans ce pays et de la tolérance en générale.
RépondreSupprimerLa campagne haineuse anti Sarko ne s'est finalement interrompu que pendant l'état de grace.
C'est bien triste de voir cette pétition stupide et antidémocratique paru dans Marianne.
Et tout ca permet evidemment d'éviter de parler du fond...