puisqu'on en est à taxer les gobelets en plastique... pas de doute! Au moins sur ce point-là, nos politiques ne sont pas à court d'idées... et tant que le grotesque ne tue pas!
Je crains de devoir être d'accord avec daredevil2007.
Tenu à un devoir de réserve, je peux néanmoins vous indiquer que cette idée de taxe picnic est sans doute l'idée la plus farfelue que nous ayons eu depuis des années.
Ceux que je connais qui sont en charge de la mettre en oeuvre s'arrachent les cheveux et même les plus verts n'en croient pas leurs yeux devant tant de bêtise !
Les hommes de l'Etat, surtout à ce niveau, sont des escrocs.
Ce n'est pas une image : je pense réellement que ce sont des escrocs qui se comportent comme des escrocs et montrent des qualités (supérieures) d'escrocs.
Si on me répond qu'il n'y a pas enrichissement, je ricane : d'une part, ce n'est pas toujours vrai ; d'autre part, une journée au Crillon avec chauffeur coûte au minimum 2 000 €. Un ministre, dans les palais de la république, a un service et des locaux équivalents, gratuitement, son salaire est son argent de poche, il peut le mettre de coté, et en plus cela lui donne droit à une retraite.
Excusez du peu. Un ministre est un escroc qui a réussi.
Pour en revenir à la taxe «pique-nique», au-delà de son ridicule achevé, je rappelle que les recettes ne sont pas attribuées à telle ou telle dépense , donc il n'y a pas plus de taxes vertes, qu'il n'y a de taxes rouges, bleues, jaunes, fuchsias, vermeilles ...
Quand je vous dis que ce sont des escrocs ...
Mais il est vrai que tant qu'il y a des imbéciles comme les écolos pour galoper, pourquoi se priver ?
"Les hommes de l'Etat, surtout à ce niveau, sont des escrocs. Ce n'est pas une image : je pense réellement que ce sont des escrocs qui se comportent comme des escrocs et montrent des qualités (supérieures) d'escrocs."
Tiens, on dirait du Robert Poujade ! On a les hommes politiques qu'on mérite. Au pays de la fraude et des niches fiscales, des golden boys, des parachutes en or et de M. Kerviel, il nous faudrait des êtres d'une essence vraiment supérieure. Par ailleurs, ne vous en prenez pas aux écolos : cette idée farfelue de taxe "gobelet plastique" est une insulte pour eux, un foutage de gueule cynique. A peu près autant que la taxation RMA. Après un chèque de plusieurs dizaines de milliards d'euros au capital,on jette une piécette au pauvre populo...Vos hurlements à la mort fiscaux font partie du jeu. Le MEDEF n'a jamais été aussi hilare qu'avec le "milliard-Sarkozy" ; comme le répète Mme Parisot "en colère" : "le plus dur...c'est de faire semblant d'y croire !"
Il n'empêche qu'avec la nouvelle taxe "pique-nique", le message que le pouvoir délivre aux citoyens est on ne peut plus clair. Si certains avaient encore des doutes, ils peuvent les lever maintenant.
Pour moi, les hommes de l'Etat ne sont pas des escrocs, ce sont carrément des voleurs. Un escroc essaie d'abord de vous voler alors que le second se dispense de la première étape.
Il y en a bien certains qui vont avoir l'idée de mettre une taxe sur le câble qui relira les barges google à la terre :)
RépondreSupprimerpuisqu'on en est à taxer les gobelets en plastique... pas de doute! Au moins sur ce point-là, nos politiques ne sont pas à court d'idées... et tant que le grotesque ne tue pas!
RépondreSupprimerJe crains de devoir être d'accord avec daredevil2007.
RépondreSupprimerTenu à un devoir de réserve, je peux néanmoins vous indiquer que cette idée de taxe picnic est sans doute l'idée la plus farfelue que nous ayons eu depuis des années.
Ceux que je connais qui sont en charge de la mettre en oeuvre s'arrachent les cheveux et même les plus verts n'en croient pas leurs yeux devant tant de bêtise !
Cordialement
Les hommes de l'Etat, surtout à ce niveau, sont des escrocs.
RépondreSupprimerCe n'est pas une image : je pense réellement que ce sont des escrocs qui se comportent comme des escrocs et montrent des qualités (supérieures) d'escrocs.
Si on me répond qu'il n'y a pas enrichissement, je ricane : d'une part, ce n'est pas toujours vrai ; d'autre part, une journée au Crillon avec chauffeur coûte au minimum 2 000 €. Un ministre, dans les palais de la république, a un service et des locaux équivalents, gratuitement, son salaire est son argent de poche, il peut le mettre de coté, et en plus cela lui donne droit à une retraite.
Excusez du peu. Un ministre est un escroc qui a réussi.
Pour en revenir à la taxe «pique-nique», au-delà de son ridicule achevé, je rappelle que les recettes ne sont pas attribuées à telle ou telle dépense , donc il n'y a pas plus de taxes vertes, qu'il n'y a de taxes rouges, bleues, jaunes, fuchsias, vermeilles ...
Quand je vous dis que ce sont des escrocs ...
Mais il est vrai que tant qu'il y a des imbéciles comme les écolos pour galoper, pourquoi se priver ?
"Les hommes de l'Etat, surtout à ce niveau, sont des escrocs.
RépondreSupprimerCe n'est pas une image : je pense réellement que ce sont des escrocs qui se comportent comme des escrocs et montrent des qualités (supérieures) d'escrocs."
Tiens, on dirait du Robert Poujade !
On a les hommes politiques qu'on mérite. Au pays de la fraude et des niches fiscales, des golden boys, des parachutes en or et de M. Kerviel, il nous faudrait des êtres d'une essence vraiment supérieure.
Par ailleurs, ne vous en prenez pas aux écolos : cette idée farfelue de taxe "gobelet plastique" est une insulte pour eux, un foutage de gueule cynique. A peu près autant que la taxation RMA. Après un chèque de plusieurs dizaines de milliards d'euros au capital,on jette une piécette au pauvre populo...Vos hurlements à la mort fiscaux font partie du jeu. Le MEDEF n'a jamais été aussi hilare qu'avec le "milliard-Sarkozy" ; comme le répète Mme Parisot "en colère" : "le plus dur...c'est de faire semblant d'y croire !"
Il n'empêche qu'avec la nouvelle taxe "pique-nique", le message que le pouvoir délivre aux citoyens est on ne peut plus clair. Si certains avaient encore des doutes, ils peuvent les lever maintenant.
RépondreSupprimerPour moi, les hommes de l'Etat ne sont pas des escrocs, ce sont carrément des voleurs. Un escroc essaie d'abord de vous voler alors que le second se dispense de la première étape.