Et ben ! C'est vraiment un grand moment ! Grève générale, violence d'une pureté ! Grève, se battre contre son patron ! Bourgeois subissent moins la violence, créent la violence institutionnelle.
C'est vraiment des morceaux choisis !
Durkheim, père de la sociologie, oui, si on considère qu'il a aussi mis de côté avec ses disciples des gens comme Tardes.
Ce qui est vraiment surprenant c'est l'incapacité de mettre un acte en regard de responsabilité, de choix.
Il semble que l'adolescent qui poignarde puisse être excusé de son geste pour quelque motif psychologique, sociétale ou autre. Que la violence n'est qu'une réaction, qu'un contexte.
Bref, une fois encore, il s'agit d'explications qui semblent douteuses, mélange de structuralisme et marxisme psychologisant mal digérés, avec une superbe négation de ce qui fait, à mon sens, la vie : choisir et assumer ses choix.
Mon ami Ubiquiste, dans la ligne de Philippe Muray, définit l'idéologie du moderne, comme la fuite éperdue de la réalité : L'idéologie du moderneComme fuite de la réalité, l'émission que je vous présente se pose un peu là, et cerise sur le gâteau de la modernité, c'est financé avec nos impots «solidaires».
Vive les intellectuels qui parlent pour ne rien dire... Comparer la France au Pakistan, c'est quand même un tour de force, non? Mais sur quelles bases, au fait?
Comme je l'ai lu ailleurs, le jour où l'un de ses gentils bisounours sera agressé (ou un de ses proches), on verra s'ils continuent de tenir ce discours lénifiant... Je vais finir par croire qu'il faudrait que le ciel nous tombe sur la tête pour qu'enfin, certains sortent de leur léthargie aveuglante...
«Comme je l'ai lu ailleurs, le jour où l'un de ses gentils bisounours sera agressé (ou un de ses proches), on verra s'ils continuent de tenir ce discours lénifiant...»
Ca ne doit pas être ailleurs : j'ai écrit que la seule manière, et encore je ne suis pas sûr du résultat, de les faire revenir à la réalité serait de les tabasser.
«Je vais finir par croire qu'il faudrait que le ciel nous tombe sur la tête pour qu'enfin, certains sortent de leur léthargie aveuglante...»
Ils sont tellement ancrés dans leur irréalité (voir le blog d'Ubiquiste en lien dans mon commentaire précédent) qu'ils préféreraient la mort réelle à la mort symbolique que serait l'abadon de cette irréalité.
Quitte à faire mon vieux jeu - pourtant je ne crois pas avoir l'âge -, je me souviens de deux phrases de mon aïeul : Grandir, c'est choisir Grandir, c'est être frustré et savoir gérer sa frustration.
En ce sens, je souscris à la remarque de Franck et d'Ubiquiste : ce ne sont pas des adultes ! La plupart des personnes de cet extrait refuse de choisir, d'assumer leurs choix, de reconnaître leurs limites, leur "finitude" , bref refuse d'être frustré.
Désolé pour cette approche psychologique de bas étage.
Pour déblatérer de telles c..., le "peintre" (à prendre dans tous ses sens), vu son nom, a du avoir un ancêtre raccourci sous la révolution. Lui aussi est une victime et ne peut, à ce titre, être considéré responsable de ses propos!!!
A aucun moment, au cours de cette échange d'anthologie (aucune envie de rallumer la TV), il n'est fait mention des parents: belle performance pourtant de leur "monchérimonamour". Visiblement, l'absence de paire de claques se fait cruellement sentir (et pas que pour les enfants).
LOL !!!! L'utilisation du couteau pour imiter le phallus !!!! C'est du grand art ! Et le mec est "artiste peintre" ! Il a dû obtenir sa licence de psycho en suivant les cours du CNED.
Et ben ! C'est vraiment un grand moment !
RépondreSupprimerGrève générale, violence d'une pureté !
Grève, se battre contre son patron !
Bourgeois subissent moins la violence, créent la violence institutionnelle.
C'est vraiment des morceaux choisis !
Durkheim, père de la sociologie, oui, si on considère qu'il a aussi mis de côté avec ses disciples des gens comme Tardes.
Ce qui est vraiment surprenant c'est l'incapacité de mettre un acte en regard de responsabilité, de choix.
Il semble que l'adolescent qui poignarde puisse être excusé de son geste pour quelque motif psychologique, sociétale ou autre. Que la violence n'est qu'une réaction, qu'un contexte.
Bref, une fois encore, il s'agit d'explications qui semblent douteuses, mélange de structuralisme et marxisme psychologisant mal digérés, avec une superbe négation de ce qui fait, à mon sens, la vie : choisir et assumer ses choix.
Cordialement
Mon ami Ubiquiste, dans la ligne de Philippe Muray, définit l'idéologie du moderne, comme la fuite éperdue de la réalité :
RépondreSupprimerL'idéologie du moderneComme fuite de la réalité, l'émission que je vous présente se pose un peu là, et cerise sur le gâteau de la modernité, c'est financé avec nos impots «solidaires».
Vive les intellectuels qui parlent pour ne rien dire...
RépondreSupprimerComparer la France au Pakistan, c'est quand même un tour de force, non? Mais sur quelles bases, au fait?
Comme je l'ai lu ailleurs, le jour où l'un de ses gentils bisounours sera agressé (ou un de ses proches), on verra s'ils continuent de tenir ce discours lénifiant...
Je vais finir par croire qu'il faudrait que le ciel nous tombe sur la tête pour qu'enfin, certains sortent de leur léthargie aveuglante...
«Comme je l'ai lu ailleurs, le jour où l'un de ses gentils bisounours sera agressé (ou un de ses proches), on verra s'ils continuent de tenir ce discours lénifiant...»
RépondreSupprimerCa ne doit pas être ailleurs : j'ai écrit que la seule manière, et encore je ne suis pas sûr du résultat, de les faire revenir à la réalité serait de les tabasser.
«Je vais finir par croire qu'il faudrait que le ciel nous tombe sur la tête pour qu'enfin, certains sortent de leur léthargie aveuglante...»
Ils sont tellement ancrés dans leur irréalité (voir le blog d'Ubiquiste en lien dans mon commentaire précédent) qu'ils préféreraient la mort réelle à la mort symbolique que serait l'abadon de cette irréalité.
Quitte à faire mon vieux jeu - pourtant je ne crois pas avoir l'âge -, je me souviens de deux phrases de mon aïeul :
RépondreSupprimerGrandir, c'est choisir
Grandir, c'est être frustré et savoir gérer sa frustration.
En ce sens, je souscris à la remarque de Franck et d'Ubiquiste : ce ne sont pas des adultes ! La plupart des personnes de cet extrait refuse de choisir, d'assumer leurs choix, de reconnaître leurs limites, leur "finitude" , bref refuse d'être frustré.
Désolé pour cette approche psychologique de bas étage.
Cordialement
1 Premier prix de la connerie au barbu, second prix à l'artiste.
RépondreSupprimerJ'aimerais bien savoir ce que font les autres pour ne pas être ancrés dans la réalité. ( intellectuels de gauche, écrivains...)
S'il n'y avait pas de contre-partie dans cette émission ( un principe démocratique), on peut appeler cela de la propagande, non ?
Pour déblatérer de telles c..., le "peintre" (à prendre dans tous ses sens), vu son nom, a du avoir un ancêtre raccourci sous la révolution. Lui aussi est une victime et ne peut, à ce titre, être considéré responsable de ses propos!!!
RépondreSupprimerA aucun moment, au cours de cette échange d'anthologie (aucune envie de rallumer la TV), il n'est fait mention des parents: belle performance pourtant de leur "monchérimonamour". Visiblement, l'absence de paire de claques se fait cruellement sentir (et pas que pour les enfants).
"Visiblement, l'absence de paire de claques se fait cruellement sentir (et pas que pour les enfants)."
RépondreSupprimerPropos auxquels je souscris sans réserve!
Tiens qui a vu ceci?
Xavier Raufer
pensée conforme ?
RépondreSupprimerForme me semble superfétatoire.
Euh, pensée aussi en fait.
Ces gens ne pensent pas, puisqu'ils disent tous la même chose : ils font de l'idéologie.
RépondreSupprimerQuand bien même ils se feraient dérouiller dans la rue, ils continueraient à trouver des excuses à leurs agresseurs.
LOL !!!! L'utilisation du couteau pour imiter le phallus !!!! C'est du grand art ! Et le mec est "artiste peintre" !
RépondreSupprimerIl a dû obtenir sa licence de psycho en suivant les cours du CNED.