voir "violance" sur ma liste de blogs m'a fait proprement sauter en l'air ! Non, pas lui pensais-je ! J'ai couru (d'un clic de souris) et je respirais à nouveau.
A part j'ai vu cette émission, le criminologue était comme un cheveu dans la soupe. Réjouissant. Le passage sur la criminalité dans la Creuse est jouissif.
(*) je souffre du même mal manuscrit/dactylo. C'est affreux !
Vous remarquerez qu'il n'a pas poussé le politiquement incorrect jusqu'à préciser qu'elle est cette fameuse culture des populations violentes si différente de la culture de la Creuse, mais bon, tout le monde a compris.
Oui, à vrai dire, tout est limpide mais on note que le politiquement correct fait que personne n'ose appeler un chat un chat... mais attention, Franck : les bonnes âmes vont encore vous traiter de "fasciste" raciste... et bientôt, vous risquerez de subir les foudres de notre bien aimée halde ;))
Il est clair que cet animateur n'a pas eu peur des bien pensants et je dois avouer que c'est bien agréable... ras-le-bol de tous ces faux-semblants et de cette culture de l'excuse permanente!
Effectivement, on en rit...jaune! Mais le pire, c'est que cela continue aujourd'hui - soit 7 ans plus tard, et malgré "la fabrique du crétin" et d'autres ouvrages qui dénoncent toute cette chienlit... Et comme aucun responsable (politique en particulier) n'est prêt à prendre le taureau par les cornes, je crains que rien ne change...
C'est étonnant qu'on ne lui ait pas coupé la parole. Généralement, sur les plateaux de TV français, on se fait aboyer dessus dés qu'on dit un truc qui dérange.
"violence" serait plus correct, me semble-t-il ;))
RépondreSupprimerMerci, rectifié.
RépondreSupprimerJ'écris manuscrit sans fautes, mais je dactylographie avec des fautes, probablement une question de vitesse.
voir "violance" sur ma liste de blogs m'a fait proprement sauter en l'air ! Non, pas lui pensais-je ! J'ai couru (d'un clic de souris) et je respirais à nouveau.
RépondreSupprimerA part j'ai vu cette émission, le criminologue était comme un cheveu dans la soupe. Réjouissant. Le passage sur la criminalité dans la Creuse est jouissif.
(*) je souffre du même mal manuscrit/dactylo. C'est affreux !
Vous remarquerez qu'il n'a pas poussé le politiquement incorrect jusqu'à préciser qu'elle est cette fameuse culture des populations violentes si différente de la culture de la Creuse, mais bon, tout le monde a compris.
RépondreSupprimerUn lien que j'ai reçu il y quelques semaines. Attention, c'est crû, c'est très incorrect, et ça cartonne.
RépondreSupprimerhttp://www.nationspresse.info/?p=31628
Tiens, dans la même veine :
RépondreSupprimerreichmanntv
Oui, à vrai dire, tout est limpide mais on note que le politiquement correct fait que personne n'ose appeler un chat un chat... mais attention, Franck : les bonnes âmes vont encore vous traiter de "fasciste" raciste... et bientôt, vous risquerez de subir les foudres de notre bien aimée halde ;))
RépondreSupprimerIl est clair que cet animateur n'a pas eu peur des bien pensants et je dois avouer que c'est bien agréable... ras-le-bol de tous ces faux-semblants et de cette culture de l'excuse permanente!
Tiens, sur un autre sujet mais qui renvoie aussi à la "violence"
RépondreSupprimerAndré Bercoff
Tiens, puisqu'on y est dans les liens, celui-ci :
RépondreSupprimerhttp://cvincent.club.fr/humour/textes/enfantecole.htm
Fou rire garanti.
"cette culture de l'excuse permanente!"
C'est une belle preuve que nous ne sommes pas dans une société très libérale.
Effectivement, on en rit...jaune! Mais le pire, c'est que cela continue aujourd'hui - soit 7 ans plus tard, et malgré "la fabrique du crétin" et d'autres ouvrages qui dénoncent toute cette chienlit...
RépondreSupprimerEt comme aucun responsable (politique en particulier) n'est prêt à prendre le taureau par les cornes, je crains que rien ne change...
Dans un autre domaine, je me permets de vous conseiller la lecture du dernier texte de M. Caccomo : un régal!
RépondreSupprimerJLC
C'est étonnant qu'on ne lui ait pas coupé la parole. Généralement, sur les plateaux de TV français, on se fait aboyer dessus dés qu'on dit un truc qui dérange.
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