On a dit que Ségolène Royal s'était engagée dans la course à la présidentielle par dépit vis-à-vis de François Hollande, qui la trompait.
Maintenant, Le Point écrit que le comportement de son nouveau compagnon a fait le vide autour d'elle.
Il ne faut pas être un psychologue chevronné pour s'apercevoir qu'elle a un petit problème avec les hommes. Fulgurance étrange en ces temps de maternalisme sur-aigu : elle s'engage dans la course au pouvoir par haine de la sexualité masculine et quitte cette course quand elle se réconcilie avec un homme.
Je suis perplexe. Je ne sais qu'en penser.
En soi, ce n'est pas exceptionnel, tous les hommes politiques qui atteignent ce niveau ont un grain quelque part : quand on voit ce que ça réclame comme investissement, pas besoin d'être grand psy pour se rendre compte que personne de normal ne peut accepter de telles contraintes. C'est juste la forme qui est originale.
RépondreSupprimerMais, "maternante" aiguë pour un temps de maternité aiguë : on se souvient de l'attitude humiliante de Royal à l'égard de la personne handicapé sur le plateau de TF1.
Franck, êtes vous pour la justice climatique ?
RépondreSupprimerhttp://max-la-terreur.blogspot.com/2009/10/la-justice-climatique-sera-ton-allie.html
Je pense que la remarque d'Anthony est très juste. Pour concourir à ce niveau il ne faut sans doute pas avoir des caractéristiques psychologiques normales, mais avoir des tendances très fortes du type histrioniques, narcissiques, paranoïaques, ... Sinon vous ne tiendrez pas longtemps. Et ça semble entraîner une déconnection plus ou moins grande de la réalité. Tous les autres le paient cher ...
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