Si je devais me définir, je dirais que je suis libéral-conservateur : libéral, car le libéralisme est constitutif de valeurs européennes qu'il me semble hautement souhaitable de conserver. J'attache à ce titre une grande valeur à la noblesse, d'esprit, de cœur, de comportement.
Je suis donc très éloigné des valeurs plébéiennes et révolutionnaires du fascisme.
Mon distinguo est corroboré par l'histoire : tant en Allemagne qu'en France,les conservateurs furent parmi les premiers résistants.
Les bien-pensants ont pour spécialité de pervertir les mots. Voilà les choses remises à leur place.
Pour tenter de démontrer que le libéralisme est incompatible avec le conservatisme, les libertariens, libertaires et autres « anarcap' » citent souvent le texte de Friedrich Hayek où il explique pourquoi il n'est pas conservateur. Ils n'en ont lu que le titre, apparemment. Hayek y affirme dès le début qu'un libéral cohérent ne peut que soutenir les partis conservateurs (en 1960)...
RépondreSupprimerJe me sens en phase avec ce positionnement, et c'est d'ailleurs le seul relativement cohérent en France en 2009.
RépondreSupprimerJe rejoins la remarque de Criticus.
Et c'est le positionnement que l'on devrait réussir à donner à LHC. Non ?
@ Lomig
RépondreSupprimerMais je me tue à le dire... ;)
« libéral » et en faveur de l’interdiction des minarets en Suisse ? Il faudra que vous m’expliquiez…
RépondreSupprimerSimple : vous confondez libéral et partisan du foutoir généralisé.
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