Vis-à-vis de la burqua, on distingue deux gauches :
> une gauche laïque, volontiers rigoriste.
> une gauche immigrationniste et communautariste, prête à toute les compromissions.
Entre ces deux gauches se produisent des échanges, mais, dans l'ensemble, les positions sont fixées.
Il est clair que la seconde dispose d'une majorité écrasante dans les instances dirigeantes, où l'on sait compter. Personne n'y a oublié que le prolétariat de substitution constitué par les immigrés naturalisés, notamment africains et nord-africains, a voté a plus de 90 % pour Ségolène Royal.
Néanmoins, je ne suis pas certain que la base gauloise et assimilée soit si à l'aise avec cette position.
Je suis curieux de voir la suite.
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