Le comportement de tous les boute-feux des émeutes est à la fois puéril et désastreux. Mais les politiciens quel qu'en soit le bord sont également responsables : depuis trente ans, toute tentative de prendre en charge les préoccupations populaires est disqualifiée avec force hurlement indignés par le martèlement insultant de «populiste».
Nous sommes un pays dysfonctionnel. Nos us et coutumes sont inadaptés à la démocratie à l'anglo-saxonne, qui, nolens volens , est la forme moderne de la démocratie. Les manifestations actuelles ressemblent à nos vieilles jacqueries : des explosions de colère sans but ni avenir. Et le microcosme médiatico-politique ressemble fort à l'ancienne aristocratie dans ce qu'elle avait de pire.
Je ne sais pas comment sortir de cette impasse politique : comment faire en sorte d'avoir des représentants représentatifs ? Une des solutions est de supprimer le problème : se passer de démocratie représentative.
Je ne sais pas : la monarchie me séduit intellectuellement (je ne souffrirais pas si on ne me demandait plus d'élire nos gouvernants). Mais pratiquement, je ne vois pas comment cela peut se passer.
Bref, je suis dans le brouillard le plus complet.
Rendre le statut de fonctionnaire incompatible avec celui de représentant du peuple (député, sénateur…) aurait peut-être du bon, par exemple. Et serait un (tout) petit peu moins difficile à instaurer qu'une monarchie (que je trouve infiniment séduisante, il est vrai).
RépondreSupprimer"Nous sommes un pays dysfonctionnel. Nos us et coutumes sont inadaptés à la démocratie à l'anglo-saxonne, qui, nolens volens"
RépondreSupprimerVoilà, tout est dit. Je savais bien que ce blog était profondément anti-français. Qu'il nous bassine avec la "modernité" à la con dès qu'il s'agit de renoncer à notre identité ou de nous imposer un "moment thatchérien" dont nous ne voulons pas !
En revanche, la modernité comprise au sens de progrès social, il ne cesse de cracher dessus.
Action - réaction ! Méfiez-vous de la réaction à votre "moment thatchérien" : il pourrait déclencher le moment rouge-brun qui se prépare et auquel les gogos mondialistes atlantistes forniquant avec la vermine sioniste ne s'attendent pas !
Un homme averti en vaut deux !
Bonjour Franck,
RépondreSupprimerJe me garderai bien de nourrir le troll... en revanche, pour tenter de compléter votre réflexion, il y a sans doute dans la démocratie française nombre de changements a priori anodins susceptibles de modifier substantiellement les choses.
Le point souligne par Blousard en est un : exiger qu'un fonctionnaire élus une seconde fois fasse le choix entre son statut protecteur et son avenir politique permettra d'éviter la permanence de nombre de nos élites politiques.
Un autre consisterait à interdire toute possibilité de cumul de mandats et de quasi mandats.
Par cumul de mandat, je pense naturellement aux mandats électifs. Plus de député-maire-conseiller général et autre joyeuseté.
N'en déplaise à M. Balkany, les avantages supposés d'une telle situation française - avoir des députés au plus près du terrain - ne compensent pas les inconvénients bien réels - pas suffisamment de temps pour faire les lois, parlement croupion, immobilisme parce que justement le député ne veut pas fâcher les électeurs du maire qu'il est localement -.
Autre aspect possible, permettre à l'autorité judiciaire de simplement devenir le 3ème pouvoir de Montesquieu, donc d'assurer à la fois son indépendance ET sa responsabilité devant le peuple - au nom duquel, je le rappelle, elle rend ses jugements -.
Ne pas élire ses représentants me paraît très risqué. Je reprendrai l'adage des indépendantistes américains du 18ème s. "pas de taxation sans représentation".
Si nous avons déjà du mal avec un pouvoir élu capable des pires turpitudes, perdre cet ultime - quoique parfois dérisoire - ressort de rappel me semble très dommageable.
De manière plus large, très rares à ma connaissance ont été les moments où le système politique français a su développer un certain pragmatisme, au sens de mettre en place un système institutionnel clair et affiché qui vise à négocier plutôt qu'à démolir son adversaire.
Je dis système clair, car la régulation croisée telle qu'expliquée par JC Thoenig est certes un système de négociation, mais opaque et corporatiste.
Quand je dis à de rares moments, je pense à la troisième république post Mac Mahon ou certains instant de la IV au tournant des années 1950.
Mais dans l'ensemble, là où les barons anglais forçaient en 1215 le pouvoir royal à signer la Magna Charta, nous avions quasiment à la même date un roi faux monnayeur en France, au nom justement de la grandeur de la France.
Je crains que nous revivions cela 8 siècles plus tard, n'en déplaisent aux trolls, aux gauchistes et aux constructivistes de tout poils - et de toutes plumes, voire sans rien du tout - : la maîtrise des dépenses publiques demeure un reflet et un outil de l'indépendance d'une nation, d'un peuple et des individus qui le composent - cf. Jacques Rueff dans un ouvrage dont je viens de manger le nom, si quelqu'un ou notre hôte s'en souvient, merci d'avance -.
"la modernité comprise au sens de progrès social, il ne cesse de cracher dessus."
RépondreSupprimerFaire des conneries pendant 40 ans, notamment 1600 milliards de dettes publiques, et présenter ensuite la facture à ses propres enfants, ce n'est pas un progrès social.
Ne vous en déplaise, la modernité, c'est la civilisation fondée sur le Droit et non le tribalisme dont le socialisme et toutes ses déclinaisons (hitlérienne, marxiste, social-démocrate) sont les formes contemporaines. Aux dernières nouvelles, ni le tribalisme ni le socialisme n'ont jamais apporté le moindre progrès social, mais au contraire la ruine et le chaos.
Confondre tribalisme et nation - qui en est la négation même - en voilà une bonne ! Les mondialistes sont vraiment au bout du rouleau pour en arriver à sortir de telles fadaises...
RépondreSupprimerMais bon, pour éviter d'assumer le principe de la lime ci-dessus, on préfère me traiter de troll !
Je vous laisse entre vous, alors.
Bonjour,
RépondreSupprimerJe rejoins entièrement Tonton Jack sur la difficulté que rencontre Phoebastria à démontrer que vous, Franck, êtes anti-français. pour qu'il éclaire, si cela est possible, je l'encourage à découvrir tout ce que notre paysage social doit à Pétain (ce n'est pas un point Godwin) et à lire, par exemple, cet excellent ouvrage "Le paradoxe français" de Simon Epstein aux éditions Albin Michel. Cela l'éclairait, sans aucun doute, sur la réalité d'un certain progressisme.
En ce qui concerne vos interrogations quant au régime politique qui conviendrait à notre pays, je soumets à votre sagacité ce que Robert Heinlein envisage pour le gouvernement de la Lune dans son roman "Révolte sur la Lune". Le premier paragraphe a trait au mode de représentation, le second comment les chambres doivent fonctionner et le troisième à l'impôt:
1) La démocratie: « Vous pourriez même envisager de déclarer élus les candidats qui obtiendraient le moins grand nombre de suffrages ; les hommes impopulaires sont peut-être justement ceux qui peuvent nous sauver d’une nouvelle tyrannie. (...) Tout au cours des siècles passés les gouvernements désignés par la ferveur populaire n’ont pas été meilleurs, ils ont même parfois été pires que les tyrannies déclarées. (...)
Supposons qu’au lieu d’être désigné par l’élection, un député soit désigné par une pétition signée de quatre mille citoyens ; il représenterait réellement ces quatre mille électeurs et n’aurait pas de minorité contre lui puisque, s’il y avait eu une minorité dans sa circonscription électorale, les membres de cette minorité auraient parfaitement eu le droit soit de signer d’autres pétitions, soit de signer la sienne. »
2) Deux chambres : «C’est excellent : plus il y a d’obstacles au pouvoir législatif, mieux cela vaut. Pourtant, au lieu de suivre la tradition, je proposerais, moi, qu’il y ait une Chambre législative et que la deuxième Chambre ait pour seul devoir d’abroger les lois. Que les législateurs ne puissent adapter une loi qu’avec une majorité des deux tiers... tandis que ceux qui abrogeraient les lois puissent annuler n’importe quelle loi à la simple majorité d’un tiers. (...) Pensez-y encore une fois : si une loi est tellement discutée qu’elle ne peut convaincre les deux tiers d’entre vous, ne vous semble-t-il qu’une telle loi ne peut être que mauvaise ? Et, inversement, si une loi est discutée par au moins un tiers d’entre vous, ne vous semble-t-il pas, aussi, que vous auriez avantage à vous en passer? »
3) Les impôts : « ... à moins, encore, que vous, Messieurs les députés, ne deviez être des contribuables volontaires et ne deviez payer pour nos besoins, quels qu’ils soient ; (...) En effet, si vous croyez réellement que vos voisins doivent, pour leur propre bien, subir des lois, pourquoi ne serait-ce pas à vous de payer pour ces lois ? Camarades, je vous en conjure, ne vous laissez pas aller aux impôts obligatoires. Il n’y a pas de pire tyrannie que celle qui oblige quelqu’un à payer pour ce qu’il ne veut pas, uniquement parce que vous pensez que c’est pour son bien. »
Il faut aller plus loin : les fonctionnaires ne doivent pas avoir le droit de vote. Ca tombe sous le sens quand on y réfléchit.
RépondreSupprimerChristine Lagarde : "Ces gens s'amusent à bloquer".
RépondreSupprimerElle aurait dit : "Ces gens sont des enculés parce que ces connards de voyous fascistes bloquent la France", j'aurais compris.
Mais dire : "Les gens s'amusent à bloquer", c'est insultant.
"les fonctionnaires ne doivent pas avoir le droit de vote"
RépondreSupprimerNi le droit de grève d'ailleurs.
H.,
RépondreSupprimerPour ma part, je ferais un usage beaucoup plus large du tirage au sort (qui sert déjà pour les jurys de cour d'assises).
Il comporte beaucoup de dangers, certes, mais nous sommes bien placés pour connaître les dangers du clientélisme électoral, qui ne sont pas moindres.
Un des systèmes qui a duré le plus longtemps, celui de la république vénitienne mérite réflexion :
> les gouvernants désignés ne pouvait refuser le poste offert.
> leur magistrature se faisait à leurs frais. Ils devaient donc être riches.
> ils étaient sous la menace constante de la délation et du procés.
Ces réflexions peuvent vous sembler creuses, elles le sont indubitablement à court terme. Mais à plus long terme, notre système politique, le social-clientélisme, est à l'agonie, il faudra bien qu'il soit remplacé par quelque chose d'autre.
Il se peut que nous revenions à une démocratie à la fois représentative et responsable. Après tout, nous n'en sommes pas si éloignés.
Si nous rétablisssions la constitution de 1962, dépouillée des damnables nouvelletés dont on l'a barbouillée (dont la prise de pouvoir des corps non élus, conseil d'Etat et conseil constitutionnel, le quinquennat, la prééminence européiste ...) et que nous ajoutions l'interdiction des déficits publics sauf en cas de guerre.
Mais il est d'autres hypothèses : une dictature plus ou moins molle, une oligarchie, etc.
Mais, évidemment, l'absence de représentation a pour condition des impots très bas.
Entre nous soit dit, je n'ai absolument rien contre les origines pétainistes de certains aspects de notre système social. (Et donc maurrassiennes, ce que certains appellent haineusement le "corportisme").
RépondreSupprimerce que je dis anti-français, c'est cette référence constante aux ploutocrates anglo-saxons...
Pour ce qui est de l'organisation collective, elle est nécessaire à partir du moment où vous ne voulez pas exclure d'individus. Vous parlez du "plus grand nombre" ; la question n'est pas celle du plus grand nombre mais bien de rendre impossible toute exclusion ! Ainsi, si les cabines téléphoniques peuvent sauver la vie d'une seule personne qui n'a pas de portable, il faut toutes les garder...
Pour le droit à l'éducation : je récuse le droit des parents à inculquer à leurs enfants la secte de leur choix ; les enfants ont aussi des droits, pas seulement "santé, sécurité et moralité" comme le dit le très bourgeoisement dégénéré code civil, mais aussi la liberté de conscience. L'éducation ne peut être laissée libre à des sectes ou des islamistes. deux écoles (une laïque, une chrétienne, liée à la religion historique de la France, ça suffit).
Mais en parlant de la Suisse, vous me rassurez. A vos dires, la Suisse n'aurait pas d'organisation collective ni de droits sociaux ? C'est nouveau ça... Pour le droit à l'éducation, la conscience des élèves est même mieux respecté qu'en France, puisque les élèves ont des droits personnels qui augmentent avec l'âge, surtout dans les cantons germanophones.
Vous parlez de "gueux" dans les rues ? Peut-être pourrait-on éviter, avec un dialogue social en amont, cette situation.
Très symptomatique : les lycéens. En France, ils ont formellement peu de droits et en ont obtenu quand même quelques-uns (association, expression, représentation...). Les actions de rues, ils les font à l'arrache... En Suisse, ils en ont beaucoup plus et du coup ils ne descendent guère dans la rue, car leur parole est reconnue naturellement (y compris par des mesures allant jusqu'au droit de vote à 16 ans).
Que la France devienne une démocratie sociale apaisée, je veux bien. Mais ce n'est pas exactement un moment thachérien.
L'imposition d'un tel moment, au contraire, rallumerait le feu... Et vos histoires de fonctionnaires qui ne devraient pas avoir le droit de vote (ça n'existe nulle part...) tout autant.
D'accord avec les suggestions suivantes des uns et des autres, à laquelle j'en ajoute une quatrième : 1) indépendance des juges en supprimant la sujétion du Parquet ; 2) interdiction du cumul des mandats ; 3) injection (prudente) d'une certaine dose de tirage au sort, à laquelle la France renâcle. Mais voir justement : Yves Sintomer, Le Pouvoir au peuple, Jurys citoyens, tirage au sort et démocratie participative, 2007. On en trouve un extrait (chapitre 2) sur Internet. 4) abolition du monopole légal ou de facto des grands corps. D'autres pays connaissent des tendances à une concentration de fait (mettons des anciens d'Oxford, Cambridge au Royaume Uni, des anciens de trois ou quatre universités aux USA), mais la France pousse ça jusqu'au délire.
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerComme dit, je vous réponds avec plaisir.
Si j’ai mal choisi un terme précédemment – gueux -, je me permets de vous dire que les termes valises comme « ploutocratie » ou « dégénéré » ne facilite guère ma compréhension.
Mais je ne demande qu’à être instruit.
« Entre nous soit dit, je n'ai absolument rien contre les origines pétainistes de certains aspects de notre système social. (Et donc maurrassiennes, ce que certains appellent haineusement le "corportisme"). »
C’est sans doute une différence. Ce fameux système corporatiste – sans haine aucune pour le mot – a le malheur à mes yeux de favoriser à long terme la lutte effrénée pour des prébendes étatiques, des avantages spécifiques et favorise un clientélisme politique.
« ce que je dis anti-français, c'est cette référence constante aux ploutocrates anglo-saxons… »
???
J’avoue ne pas comprendre. Je remarque juste que si vous faite un choix dans la pensée politique française – avec Charles Maurras -, d’autres choix peuvent être faits – je pense à Tocqueville, Montesquieu, Voltaire ou Bastiat -.
(...)
« Pour ce qui est de l'organisation collective, elle est nécessaire à partir du moment où vous ne voulez pas exclure d'individus. Vous parlez du "plus grand nombre" ; la question n'est pas celle du plus grand nombre mais bien de rendre impossible toute exclusion ! Ainsi, si les cabines téléphoniques peuvent sauver la vie d'une seule personne qui n'a pas de portable, il faut toutes les garder… »
RépondreSupprimerSi je vous suis, une organisation collective est nécessaire pour ne pas exclure. Donc, toute organisation doit viser l’inclusion de tous les individus, indépendamment de leurs souhaits, vies, mérites, préférences, etc.
Nous avons une différence de plus, car cette vison me paraît trop holiste pour ne pas risquer d’engendrer une négation de l’individu et tout du moins une déresponsabilisation de celui-ci : pourquoi chercherai-je à m’en sortir seul, puisque je peux m’attendre à ce que la collectivité vienne à mon secours.
Au passage, je disais dans mon propos précédent une organisation collective imposée par la loi au financement obligatoire. Une organisation collective peut très bien résulter de la libre association d’individus – ce fut même le cas historiquement pendant des siècles -.
« Pour le droit à l'éducation : je récuse le droit des parents à inculquer à leurs enfants la secte de leur choix ; les enfants ont aussi des droits, pas seulement "santé, sécurité et moralité" comme le dit le très bourgeoisement dégénéré code civil, mais aussi la liberté de conscience. L'éducation ne peut être laissée libre à des sectes ou des islamistes. deux écoles (une laïque, une chrétienne, liée à la religion historique de la France, ça suffit). »
De manière symétrique, je pourrais indiquer que je récuse le droit à une personne, fût-elle instituteur, d’instruire ma progéniture dans un sens que je récuse, sur la base de valeur et de programme qui ne sont pas nécessairement miens.
Au passage, je ne vois pas en quoi le Code Civil est « dégénéré », tout du moins dans version initiale, mâtinée par la IIIème république – la version actuelle retouchée mille fois par un législateur parkinsonien est… différente -.
(...)
(...)
RépondreSupprimer« Mais en parlant de la Suisse, vous me rassurez. A vos dires, la Suisse n'aurait pas d'organisation collective ni de droits sociaux ? C'est nouveau ça... Pour le droit à l'éducation, la conscience des élèves est même mieux respecté qu'en France, puisque les élèves ont des droits personnels qui augmentent avec l'âge, surtout dans les cantons germanophones. »
Dans mon propos précédent, j’ai oublié de préciser après organisation collective les termes ‘‘ imposée par la loi au financement obligatoire’’. Je n’ai pas dit que la Suisse n’avait pas d’organisation collective. Les Suisses ont a ce niveau des choses à nous apprendre en termes de capacité à gérer localement les problèmes sur la base de la libre associations d’individus qui n’attendent pas le secours d’une puissance publique.
Sur l’école, il y a une liberté chez les élèves qui va aussi avec une capacité de contrôle et de rétroactions entre le corps enseignants et les parents sans commune mesure à ce que nous connaissons en France.
Un proviseur ou un directeur d’école est responsable devant les parents. Un enseignant qui ne ferait pas l’affaire, sur la base des récriminations fondées des parents, risque sa place. A rebours, un enfant turbulent et irrespectueux des règles de vie en société est sanctionné.
De manière simple, le lien entre liberté individuelle et responsabilité individuelle est bien moins distendu en Suisse qu’il ne peut l’être en France.
« Vous parlez de "gueux" dans les rues ? Peut-être pourrait-on éviter, avec un dialogue social en amont, cette situation. »
Donc, dialogue social signifie que la gestion des dits gueux – désolé pour ce terme mal choisi – ne peut se faire que dans le cadre d’une discussion avec organisations collectives établies et un pouvoir politique.
D’autres solutions sont possibles : organisation caritatives privées, fondées sur les dons reçus de personnes – qui ont les moyens de donner, car les pouvoirs publics savent se mesurer dans leur pression - ;
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(...)
RépondreSupprimer« Très symptomatique : les lycéens. En France, ils ont formellement peu de droits et en ont obtenu quand même quelques-uns (association, expression, représentation...). Les actions de rues, ils les font à l'arrache... En Suisse, ils en ont beaucoup plus et du coup ils ne descendent guère dans la rue, car leur parole est reconnue naturellement (y compris par des mesures allant jusqu'au droit de vote à 16 ans). »
A un petit détail près, en général un lycéen suisse comprend la logique démographique et qu’il ne sert à rien de dépouiller quelqu’un d’un capital pour le distribuer en une fois : mieux vaut qu’il soit investi pour créer richesses et emplois.
Autre détail, si un lycéen suisse s’amuse à bloquer, donc empêcher les autres de travailler, il sait que la sanction arrivera immédiatement. Dit autrement, il est libre de mener une action, mais il ne doit pas entraver la liberté des autres et assumer les conséquences.
En cela, les lycéens helvètes que j’ai côtoyés étaient bien plus adultes que nombre de manifestants hexagonaux.
« Que la France devienne une démocratie sociale apaisée, je veux bien. Mais ce n'est pas exactement un moment thachérien. L'imposition d'un tel moment, au contraire, rallumerait le feu... »
Démocratie sociale apaisée ? Quid ? Dans la vision corporatiste qui semble être vôtre, je ne vois pas comment, mis à part une remise au goût du jour d’un social clientélisme, donc d’une distribution des prébendes étatiques.
Sans doute aussi faudrait-il s’entendre sur moment thatchérien.
Probablement vous arrêtez vous sur les questions syndicales, la grève des mineurs de 1984, etc. Certes, Mme Thatcher a été dure sur ces questions, mais elle n’a jamais fait que suivre ce qu’elle avait dit pendant ses campagnes – les programmes annoncées étaient on ne peux plus clairs – et simplement remis les organisations dites représentatives à leur place – à savoir que Westminster fait la loi et non les organisations syndicales -. Elle a plus généralement voulu remettre les notions de responsabilités individuelles et d’autonomie au centre.
(...)
(...)
RépondreSupprimer« Et vos histoires de fonctionnaires qui ne devraient pas avoir le droit de vote (ça n'existe nulle part...) tout autant. »
Il s’en est fallu de peu au tournant du XXème siècle pour que ce fût le cas en France. Diverses propositions de loi avaient été faites pour ‘‘les fonctionnaires ne puissent plus participer au débat, comme les eunuques du sultan’’ – de mémoire, je n’arrive plus à retrouver la citation exacte -.
Cordialement
Franck,
RépondreSupprimerPour nourrir votre réflexion
ici
Comme quoi, le problème est ancien...
Cordialement
PS : désolé pour ma longue réponse précédente
"si les cabines téléphoniques peuvent sauver la vie d'une seule personne qui n'a pas de portable, il faut toutes les garder..."
RépondreSupprimerJe vous la fais autrement :
s'il faut un raciste-nazi-antisémite notoire pour sauver l'antiracisme militant, faut-il le garder ?
je récuse le droit des parents à inculquer à leurs enfants la secte de leur choix
Vous êtes donc pour obliger les parents à envoyer leurs enfants dans l'école que vous leur aurez choisie. Vous vous arrogez donc un droit de propriété sur des enfants et leurs parents. Comme Caeucescu avait décidé que tous les bébés roumains à naître étaient la propriété de l'Etat. Bien mal lui en a pris, ce sont ces bébés-là qui l'ont fait fusiller en 1989.
Peut-être pourrait-on éviter, avec un dialogue social en amont, cette situation.
mais bien sûr, une solution collectiviste à des problèmes individuels. On voit les résultats aux USA : au prétexte que la plupart des SDF étaient fous et donc différents, il ne fallait surtout pas les enfermer. Résultat : ils sont partout.
Idem en France : la plupart des SDF ont de la famille. Ne serait pas à leurs famille de s'en occuper plutôt que de refiler le bébé et le soin en particulier financier de s'en charger à la collectivité ?
Le "dialogue social", c'est pipeau en palettes, du blabla de gauchiste dont on se fout royalement. Ce qu'il faut remettre, c'est de la responsabilité. Mais pour remettre de la responsabilité dans la société, il faut la désétatiser.
Celle-là, elle est si stupide que je ne l'ai pas relevée, mais allons-y, pour le bien de la France, de la République et du citoyen :
RépondreSupprimer"Si les cabines téléphoniques peuvent sauver la vie d'une seule personne qui n'a pas de portable, il faut toutes les garder."
Non seulement il faut les garder, mais je propose aussi qu'on poste sur toutes les routes de France, tous les cent mètres, un médecin sous un petit parasol.
En effet, il est tout à fait possible (et même statistiquement inévitable) que quelqu'un, un jour, ait une crise cardiaque sur le bord d'une route.
Ces millions de médecins se roulant les pouces sauveront donc, forcément, au moins une vie humaine.
Il serait criminel de s'en priver.
Seuls les trusts ultra-libéraux à la solde du sionisme international peuvent s'opposer à une telle mesure de salut public.
Merci à Tonton Jack d'avoir nourri le troll !
RépondreSupprimerLes invectives et les caricatures grossières de Marchenoir et Theo2toulouse (Ceucescu, une cabine tous les 100 m) ne m'intéressent pas.
Quand même une remarque : il est curieux de voir nos libéraux-répressocrates de service défendre le droit pour les islamistes d'ouvrir des madrassas.
RépondreSupprimerOn comprend mieux pourquoi le néolibéralisme détruit les peuples. Les gauchos immigrationnistes sont les alliés objectifs des néolibéraux.
Bien sûr que je veux leur imposer une école, aux islamistes, aux scientologues et aux jéhovistes ! Car les enfants ont des droits qui précèdent ce pseudo-droit des parents.
Et pendant que vous y êtes, il faudrait que les parents interdisent aux jeunes de fréquenter leurs copains qui pensent mal ? Je suis sûr que vous préconisez ce "droit" des parents...
[Curmudgeon]
RépondreSupprimerPhoebastria, une petite précision : le "jéhivistes", c'est la "vermine sioniste", c'est-à-dire en bon français, les juifs ? J'aime bien quand les choses sont claires.
Ce n'est pas pour vous, que j'écris, Ph. Je n'écris pas pour les abrutis et les voleurs, ce que vous êtes, vu votre sortie sur les cabines téléphoniques. J'écris pour les autres. Vous êtes une espèce de cobaye dont j'analyse le fonctionnement pour le bénéfice d'autrui.
RépondreSupprimerLa caricature, c'est vous.
"Je n'écris pas pour les abrutis et les voleurs, ce que vous êtes, vu votre sortie sur les cabines téléphoniques. "
RépondreSupprimerPauvre con, voilà ce que vous êtes. Incapable du moindre raisonnement en dehors de son petit milieu de droitards néolibéraux malades et sectaires.
C'est votre fonctionnement de petit libéral-répressif frustré qui mérite une analyse. C'est à cause de gens comme vous qu'on crée un nouvel ordre mondial totalitaire.
Anonyme : Les jéhovistes, ce sont les témpoins de Jéhovah. Secte à liquider.
[Curmudgeon]
RépondreSupprimerPhoebastria : merci pour la précision. Mais "liquider" une secte, brrr ! On dirait du Lénine.
"Pauvre con, voilà ce que vous êtes. Incapable du moindre raisonnement en dehors de son petit milieu de droitards néolibéraux malades et sectaires."
RépondreSupprimerC'est l'hôpital qui se moque de la charité, on dirait ;))
Mais bon, ce sont bien les manières courantes des totalitaires de gauche qui se croient investis d'une mission à nulle autre pareille : défendre le Bien!
Quoi qu'il en soit, toute cette mascarade touche à sa fin et c'est tant mieux... En revanche, la remise à niveau se fera dans la douleur! Être sevré de sa tétine étatique, c'est dur dur...
Ph. : merci de me faire parvenir un chèque de 20 millions d'euros pour les cabines téléphoniques que vous réclamez à votre seul usage (c'est un à-valoir ; je ne puis vous faire un devis exact en si peu de temps ; mais je ne manquerai pas de vous adresser la facture définitive).
RépondreSupprimerVous voudrez bien y ajouter un autre chèque de, mettons, 2 milliards d'euros pour le grand service public des médecins sous parasol tous les 100 mètres sur les routes, nécessaire pour complaire à vos revndications. (Là encore, il s'agit d'un a-valoir ; je ne vous cache pas que votre facture finale pourrait être beaucoup plus élevée).
Quand vous aurez deux secondes, vous nous procurerez également un "argument" ou deux à l'appui de votre extravagante demande téléphonique.
A moins, bien sûr, que seuls les libéraux soient astreints aux arguments (que je vous ai fournis, mais vous ne savez sans doute pas lire), et que les stato-gauchistes soient d'office dispensés de se justifier.
De toutes façons, mes propos ne sont pas non plus à votre usage direct.
RépondreSupprimerIci se regroupe une petite poignée groupusculaire de néolibéraux.
Je montre juste aux autres lecteurs que la nationalisme ne doit pas être considéré comme complice de votre idéologie indigente
Oui, indigente, car il faut être formaté par des écoles à fric pour y croire ; littéraires, scientifiques comme humanistes s'ouvrent des horizons beaucoup plus larges que vous n'imaginez même pas. Pour un biologiste, il y a plus de concepts dans un chapitre sur la physiologie de la reproduction étudié en 2 mois que dans vos 5 ans d'économie réunis - et des chapitre comme ça, nous en voyons des dizaines. L'économisme néolibéral peut se comprendre avec 10% des concepts qu'un écologue maîtrise, et encore, en les caricaturant et en les travestissant de simplisme. Cf les âneries monumentales de Hayek sur le Darwinisme : n'importe quel biologiste se tord de rire en lisant ces foutaises qui lui ont valu le prix de la Banque de Suède, autrement dit zéro.
Le nationalisme, dont je me revendique, est, contrairement à ce que nous fait croire ce blog, une forme de résistance au thatchéro-hayéko-pinochéto-busho-friedmanisme. Ce blog n'est pas nationaliste, ou alors c'est un nationalisme américano-israélien, au regard des derniers titres sortis...
Quant aux sectes, que les débiles s'aliènent à qui ils veulent, mais on leur retire leurs enfants qui ont le droit à une liberté en dehors.
Idem pour la scientologie et toutes ces merdes. L'erreur de la République est de ne pas reconnaître des cultes historiques, à commencer par le catholicisme. Ce faisant, on pourrait se débarrasser beaucoup plus facilement des sectes et ne pas les confondre avec des vraies religions.
Quant à la mascarade qui va prendre fin, c'est précisément celle du mondialisme et de la finance totalitaire. les peuples n'en veulent plus, en dehors de groupuscules comme vous qui chnatent le chant du cygne. Votre crise - et il en viendra d'autres tant qu'on ne foutra pas en l'air le FMI et l'OMC - est le début de cette fin.
Amusant... quand on est à court d'arguments, on ressort les attaques en dessous de la ceinture... "neo"/"ultra" libéraux alors que ces termes ne veulent rien dire du tout et ont été uniquement créés pour empêcher toute discussion selon les bonnes vieilles méthodes staliniennes d'antan...
RépondreSupprimerQuant à être formaté, je crois que vous en êtes l'exemple parfait : aucune réflexion de fond, aucun argument sérieux, que des truismes enfilés à la va vite.
Comme le dirait H16 : CPF
Bien sûr que l'ultralibéralisme existe ! AInsi que le néolibéralisme...
RépondreSupprimerIl y a deux phénomènes que désignent ces termes :
- Le refus de séparer le libéralisme politique du libéralisme écionomique. Cette façon d'en faire un tout et de taxer de contradictoire celui qui critique le libéralisme économique tout en se revendiquant libéral politique... Ca, c'est l'ULTRAlibéralisme.
Le néolibéralisme, c'est encore autre chose. C'est un mariage du conservatisme et du libéralisme économique ; il est issu de la fornication entre vrais libéraux anticommunistes et conservateurs, alliés pendant la guerre froide. Hayek en est une des sources, Pinochet et thatcher les exécutants. Après 1989, ils auraient dû éclater cette alliance contre-nature mais c'est l'inverse qui s'est passé. Cette fornication infâme s'est poursuivie. Ca a donné le néoconservatisme, qui est finalement à peu près la même chose : libéral économiquement (surtout pour mles multinationales, la destruction des PME ce n'est pas grave pour eux) et ultraconservateurs sur le plan sociétal (répression, militatrisme, principes éducatifs autoritaires)... L'alliance de ce courant avec le sionisme est une autre réalité incontournable.
Bien sûr les ultralibéraux et les néoconservateurs néolibéraux devraient, logiquement, se détester (puisque les néoconservateurs ne font pas un tout du libéralisme économique associé au libéralisme politique)... mais non, les faits montrent qu'ils sont alliés durablement !
Mais bien sûr, vous allez me dire mes arguments, mes raisonnements n'en sont pas, que cela n'est quen lieu commun. C'est pourtant la réalité ! Et je la hurlerai tant que nécessaire !
Mais hurlez donc, cela n'en fera pas davantage des arguments sérieux! Vous confondez le libéralisme qui est une théorie du droit et le système d'économie de marché capitaliste...
RépondreSupprimerJe vous conseille à ce propos divers articles de fonds de Vincent Bénard ou de M. Martoïa (exemples non limitatifs) qui démontent avec précision toutes ces supercheries (vous pouvez également en profiter pour lire les commentaires de Mateo et ST sur le blog de V. Bénard qui se fendent régulièrement d'explications pointues et de démonstrations détaillées).
Et tant qu'on y est, n'hésitez pas à lire P. Salin, R. Boudon et quelques autres, histoire de faire bonne mesure...
Toujours aucun "argument" pour défendre le maintien de centaines de milliers de cabines téléphoniques dans le but de sauver une seule vie.
RépondreSupprimerLes biologistes doivent manquer de "concepts".
"votre idéologie indigente"
RépondreSupprimerIl est vrai que Montesquieu, Bastiat et Tocqueville sont particulièrement indigents.
Si on lasse les trolls se reproduire, ce pays n'est pas foutu, il est dans une merde pas croyable.
Cher Robert Marchenoir, l'argument n'est pas économique, il est moral, ce qui échappe totalement aux catégories imprimées dans vos circuits neuronaux élémentaires conditionnés, un peu comme, en mathématiques, les nombres dits "imaginaires" - pourtant bien réels - échappent totalement à l'esprit grossier qui en reste aux additions et aux multiplications...
RépondreSupprimerRemarquez, l'argument "sauver des vies" est récupéré par les néolibéraux quand il s'agit de rackéter la population. Deux poids deux mesures.
Ainsi, les Rosbeefs et les mégères thatchériennes sont les plus gros obsédés des radars, des amendes et de la bagnole vache à lait ; là-bas, l'automobiliste n'est pas traité à la trique comme en France mais au knout : 80 euros l'amende de stationnement - nos bobos parigos et nos faux écolos tentent de la passer à juste 20 euros... Et bien sûr, le stationnement payant, ça sauvera d'innombrables vies, comme le pensent les crétins de la LCVR.
Avec les libéraux, c'est toujours comme ça : ils adorent l'état qui flique, qui matraque, qui formate les comportements individuels (tabac, alcool, normes débiles...) mais haïssent l'Etat qui instruit ou aide ("mama" disent-ils). Ils peuvent le nier à coup de Montesquieu et de Tocqueville, mais le libéralisme réel, c'est ça et partout dans le monde, sans un seul contre-exemple (le sommum de la connerie répressive étant Singapour, une ville de cons finis).
En plus, je trouve qu'avec les impôts et les déficits démentiels qui marquent votre cher modèle anglais, ce à quoi on ajoute le racket routier et le péage urbain - on ne s'en sort pas si mal chez les honnis socialistes français laxistes ! On raque finalement moins et au moins on en a pour plus notre argent (aides sociales). Cherchez l'erreur.
Sans compter en Angleterre le chômage caché par les radiations (le pôle emploi sarkozyste s'y met, il est vrai).
Contre tout cela : rien de tel qu'un bon poujadiste français, automobiliste et chasseur de préférence, au pouvoir (rien de tel qu'un chasseur pour la connaissance de la vraie écologie). Plus que vos délires économistes, c'est de ce populisme dont on a besoin en toute urgence, contre le bobo-gôcho-écolo et contre le droitard libéral-répressif, contre le DRH de mon fion et le technocrate de Bruxelles.
"L'argument n'est pas économique, il est moral."
RépondreSupprimerAutrement dit, il est immoral.
Je confirme : vous avez une mentalité de voleur.
Envoyez-moi d'abord ce chèque de 20 millions d'euros. Ensuite, et ensuite seulement, nous pourrons discuter. C'est la caution indispensable, contrepartie de votre malhonnêteté.
"Mon modèle anglais."
Autisme des anti-libéraux. Comment voulez-vous qu'un pays socialiste, immigrationniste et islamisé soit mon modèle ?
Vous écrivez n'importe quoi.
Vous êtes un automate.
Immoral / moral... Nous n'avons pas les mêmes valeurs, M. L'Huissier !
RépondreSupprimerLes gens comme vous, c'est à la force des baïonettes qu'il faut les rappeler à leur devoir de contribuable. Déchéance de nationalité française pour les évadés fiscaux, Anelka en tête...
Au fait, c'est quoi votre modèle... Si l'Angleterre est "socialiste", je crains le pire...
"Les gens comme vous, c'est à la force des baïonettes qu'il faut les rappeler à leur devoir de contribuable.
RépondreSupprimerEh ben, voilà. Ph. est un fasciste. Les masques tombent.
Et le chèque, Ph. ? Il est où, le chèque ?
Ben le chèque, c'est vous qui le ferez, sous la menace des fascistes !
RépondreSupprimervotre cher modèle anglais
RépondreSupprimerAu cas où vous ne l'auriez pas remarqué, ce sont des socialistes qui ont été longtemps au pouvoir après Mme Thatcher. Les "libéraux" qui leur ont succédé ont la tache ardue de redresser des années de gestion socialiste.
"le péage urbain"
A Londres, c'est Ken "le rouge" Livingston qui l'a instauré. Comme son surnom l'indique, le maire de Londres est communiste.
Allez, ce soir je fais mon Robert Marchenoir : Ph., vous êtes un baltringue qui vient troller sur un blog de haute tenue intellectuelle et morale. Partez vite vous instruire pour ne pas donner raison à Michel Audiard.
Le péage urbain n'existe pas qu'à Londres. C'est une lubie de technocrates mondialistes, peu importe leur tendance (c'est comme l'UMPS en France, tous d'accord, tous cul et chemise).
RépondreSupprimerIl est appliqué notamment à Singapour, ce pays de merde où l'on ne peut pas faire plus d'un prout par jour sous peine de recevoir des coups de bâton. Le paradis fiscal et néolibéral dont vous rêvez.