Aux Etats-Unis, les analyses de divers observateurs mal-pensants (par exemple Thomas Sowell) vont dans le même sens. La désagrégation de la vie familiale, encouragée en partie par une aide étatisée mal conçue, peut être mise en relation (probablement pas seulement corrélative, mais causale) avec la chute du niveau scolaire, la délinquance, etc. Sowell était écolier à Harlem dans les années quarante, et à cette époque, alors même que sévissait le racisme anti-noir le plus impitoyable, les résultats scolaires des élèves noirs étaient peu différents de ceux des élèves blancs de quartiers comparables. Ensuite s'est créé un écart très large. Et Sowell raconte que, gamin, il pouvait aller discuter le soir venu avec l'épicier du coin sans n'avoir à craindre quoi que ce soit. Or la vie familiale des noirs pauvres à cette époque n'était pas ce qu'elle est devenue maintenant.
Mais il est impossible de plaider les vertus de la famille stable comme l'ont fait maintes cultures, notamment juive, chrétienne, confucéenne, sans passer pour un réactionnaire, un intégriste, et un ennemi de la libéralisation des mœurs et donc du genre humain.
Exact. Ce qu'on a appelé libération des moeurs a surtout conduit à un relachement des valeurs et à un laxisme qui se généralise. La drogue aidant à perdre le "nord", le résultat ne s'est pas fait attendre. On a construit une gigantesque machine à fabriquer des abrutis. Des prolos.
Celà nous permet de mettre en exergue toutes ces familles qui rejettent les qualificatifs de réacs, racistes etc... pour mieux élever leurs enfants dans un environnement de qualité même s'il est modeste.
Aux Etats-Unis, les analyses de divers observateurs mal-pensants (par exemple Thomas Sowell) vont dans le même sens. La désagrégation de la vie familiale, encouragée en partie par une aide étatisée mal conçue, peut être mise en relation (probablement pas seulement corrélative, mais causale) avec la chute du niveau scolaire, la délinquance, etc. Sowell était écolier à Harlem dans les années quarante, et à cette époque, alors même que sévissait le racisme anti-noir le plus impitoyable, les résultats scolaires des élèves noirs étaient peu différents de ceux des élèves blancs de quartiers comparables. Ensuite s'est créé un écart très large. Et Sowell raconte que, gamin, il pouvait aller discuter le soir venu avec l'épicier du coin sans n'avoir à craindre quoi que ce soit. Or la vie familiale des noirs pauvres à cette époque n'était pas ce qu'elle est devenue maintenant.
RépondreSupprimerMais il est impossible de plaider les vertus de la famille stable comme l'ont fait maintes cultures, notamment juive, chrétienne, confucéenne, sans passer pour un réactionnaire, un intégriste, et un ennemi de la libéralisation des mœurs et donc du genre humain.
Exact. Ce qu'on a appelé libération des moeurs a surtout conduit à un relachement des valeurs et à un laxisme qui se généralise. La drogue aidant à perdre le "nord", le résultat ne s'est pas fait attendre.
RépondreSupprimerOn a construit une gigantesque machine à fabriquer des abrutis.
Des prolos.
Celà nous permet de mettre en exergue toutes ces familles qui rejettent les qualificatifs de réacs, racistes etc... pour mieux élever leurs enfants dans un environnement de qualité même s'il est modeste.