Si Francois Hollande est élu, les socialistes, hégémoniques (école, presse, présidence, probablement assemblée, sénat, collectivités locales), pourront achever de détruire le peu qui reste de cette damnable particularité, obstacle à la grande fusion universaliste, qu'est un pays, en l'occurrence, le nôtre, la France.
Tout y passera : nation (droit de vote des étrangers), famille (lubies homosexualistes), économie (assommoir fiscal et répression rouge et verte), peuple (immigration de remplacement), langue et histoire (école gangrenée de progressisme), frontières (génuflexion européiste) et, surtout, libertés de penser, d'exprimer, d'agir ...
Le mouvement sera irréversible, la dernière chance de la France était en 2007 et Nicolas Sarkozy l'a gâchée.
Les Français ont-ils mérité ça ? En un mot : oui.
C'était l'objet de mes deux précédents billets de faire comprendre que ce suicide par le socialisme vient de loin.
Depuis trois cents ans que nous glissons sur cette pente, nous avons eu quelques brillantes rémissions : le Second Empire, la Belle Époque ... La France deviendra-t-elle le rêve socialiste ? Un terrain vague où s'affrontent, pour s'accrocher aux mamelles de l'Etat, des populations étrangères et hostiles ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire