Amiens a vécu une nuit insurrectionnelle dans certains quartiers du fait de populations étrangères. Quand seize policiers sont blessés par des tirs de chevrotine et de mortiers artisanaux, il s'agit bien d'insurrection et non de vagues «troubles».
Les causes ne sont pas un mystère : des populations immigrées trop nombreuses, d'origines difficilement assimilables, auxquelles, pour augmenter la difficulté, on n'a fait aucun devoir d'assimilation mais qu'on a, au contraire, convaincues qu'elles avaient uniquement des droits, issus à la fois d'un culte absurde de l'assistanat et d'une mortifère repentance coloniale.
Ajoutez à cela le laxisme devant les trafics d'armes et de drogues, et vous obtenez la situation actuelle.
A savoir qu'il y a sur le territoire de la France métropolitaine des zones de non-droit dont on ne peut plus dire qu'elles font véritablement partie de la France ni qu'elles sont habitées par des Français, même si certains habitants sont administrativement français. Le droit français ne s'y applique plus, la police française pénètre dans ces territoires le moins possible, et leurs habitants ne se sentent pas français, pire : ils n'hésitent à proclamer leur hostilité à la France.
Ces territoires ont fait sécession, voilà la triste réalité.
Par lâcheté, nous leur payons même tribut, ce sont les milliards de la «politique de la ville», qui sont censés, comme toutes les rançons, acheter la tranquillité et la liberté et qui, comme toutes les rançons encore, ne font qu'encourager les criminels dans le crime.
Que faire ?
C'est toujours la même rengaine :
De toutes choses les naissances sont foibles et tendres. Pourtant faut-il avoir les yeux ouverts aux commencements : Car comme lors en sa petitesse, on n'en descouvre pas le danger, quand il est accreu, on n'en descouvre plus le remède.
Puisque, pendant quarante ans, alors qu'il était temps d'intervenir sans trop de casse, on a insulté tous les Cassandre qui avertissaient du danger de l'immigration de peuplement, cette colonisation à rebours, nous nous retrouvons avec sur les bras un problème énorme qu'il va falloir du sang, de la sueur et des larmes pour résoudre.
La solution tient en deux mouvements simultanés :
> arrêt immédiat et complet de toute immigration de peuplement : sortie des accords de Schengen, rétablissement des frontières et répression féroce (je pèse mes mots) de l'immigration clandestine, prestations sociales réservées aux Français, réforme du droit de la nationalité (en gros, impossibilité par aucun moyen d'acquérir la nationalité française autrement qu'en naissant de parents français). Quand une baignoire déborde, on commence par fermer le robinet.
> rétablissement de l'état de droit partout : encercler les quartiers perdus, passer au crible et patrouiller. L'intervention de l'armée est probablement nécessaire. Juger et emprisonner à tours de bras. La construction de prisons est indispensable. Expulsion des criminels étrangers.
Rien qu'à l'énoncé de ces mesures, je réalise ma folie : j'attends des politiciens qu'ils exercent leur autorité et soient à la hauteur de la situation.
C'est pourquoi nous faisons toujours trop peu et trop tard, de demi-mesures en quarts de mesures, mes solutions seront sur la place publique dans quinze ans, quand il sera trop tard.
D'ci là, nous aurons immigré vers des pays où l'Etat de droit ne sera pas un mot creux ou nous aurons appris à vivre, pour fort cher, dans des quartiers réservés à l'abri de la racaille.
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