Ca se passe chez Koltchak :
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Hier soir, le bureau centralisateur installé en mairie était rempli. On y trouvait des membres des diverses listes, leurs supporteurs et des anonymes du commun. Une brave dame était là.
Classe populaire, chômeuse, ayant d’énormes difficultés à boucler les fins de mois. Elle parlait de ses problèmes avec quelques personnes, de son énervement à voir les roms envahir les rues de la ville, commettre divers délits et incivilités qui pourrissent la vie quotidienne des gens.
A ce moment, elle a été apostrophée par une retraitée bien mise sur elle, permanentée de frais, connue pour son implication dans la mouvance de la gauche extrême. Et voilà cette brave chômeuse qui se fait publiquement et vertement tancer pour son manque de solidarité, son discours de haine de l’autre, etc.
Certains auraient pu s’écraser devant un tel aplomb, mais pas cette petite dame qui lui répondit simplement : «Mais j’en ai rien à foutre de vos histoires, je suis dans la merde, et je suis Française ; je ne vois pas pourquoi je devrais subir tout ça alors qu’eux lorsqu’ils seront expulsés du terrain qu’ils occupent, ils devront être logés, etc.»
Gros silence, puis la retraitée gauchiste a préféré battre en retraite que de continuer.
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On s'amuse bien à Palaiseau !
Ce genre de dialogue est devenu exceptionnel : les deux mondes ne se côtoient plus depuis que les socialistes méprisent de toutes leurs forces les Français de base (et de souche), c'est-à-dire le peuple français.
Les socialistes de 2014 sont des fonctionnaires et des petits (voire des grands) bourgeois honteux, leur monde aseptisé et protégé est à mille lieues de la vie du Français dit moyen.
Les socialistes que je connais (dont un palaisien ! Il se reconnaîtra) sont du genre à prendre une sortie dans le métro avec la même attitude qu'une expédition de six mois dans la jungle de Papouasie-Nouvelle Guinée.
Je pense que si on leur révélait qu'il y a des gens qui prennent tous les jours le métro, il faudrait une cellule de soutien psychologique pour les aider à surmonter le choc.
Cependant, comme ils n'en ont pas grand'chose à foutre des autres (c'est pour ça qu'il vote socialiste : pour déléguer leur devoir de solidarité et s'en débarrasser à bon compte), ils se remettraient assez vite.
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