Ceux qui suivent un peu les événements savent que les gnomes de Bruxelles utilisent le levier de la question de la frontière irlandaise pour pourrir les négociations du Brexit.
Seulement, la république irlandaise voit, suite à la politique de Trump, fuir massivement la trésorerie des entreprises américaines qui retourne au pays.
Donc il se pourrait que les Britanniques soient bien plus en position de force que l'impression qu'on en a.
Malheureusement, en Grande-Bretagne comme partout, les élites font sécession et la classe dirigeante trahit sa mission. Les Anglais sont dirigés par des gens qui ne croient pas au Brexit, comme Theresa May, voire sont de francs opposants, comme les Lords.
Ils gâchent donc leurs atouts. Dommage.
Le salut pourrait venir d'Italie (rappelons qu'aux dernières élections, les europhiles ont fait seulement un quart des voix).
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