C'est une technique qu'ils connaissent par coeur : les pervers gauchistes qui sont dans l'Eglise, à commencer par le pape, détournent une accusation portée contre eux vers une fausse cause, de manière à exploiter une de leurs faiblesses pour encore plus promouvoir leur programme. La perversité, vous dis-je.
La mode est à prétendre qu'il y aurait un problème de « pédophilie » dans l'Eglise qui serait causé par un excès de « cléricalisme », c'est-à-dire d'ascendant, ou de pouvoir, du prêtre.
Quelle aubaine que cette accusation tronquée et cette analyse faussée ! Depuis le temps que les gauchistes veulent détruire l'Eglise en tant qu'institution et en tant que hiérarchie ... Mettre en accusation le magistère du prêtre ... Bravo ! Youpi ! Alleluhia (j'ose) !
Foutaises !
Non, il n'y a pas de problème de « pédophilie », mais un problème de pédérastie, d'homosexualité.
Et la cause n'en est pas le « cléricalisme » mais le défaut de croyance dans le péché originel et dans les fins dernières.
On s'encule à qui mieux mieux dans certains séminaires et dans certaines sacristies parce qu'on ne croit plus au Malin, ni au Jugement dernier, ni à l'Enfer, et même, ni à Dieu, ni au Diable. Ce n'est pas plus compliqué que ça. Et ça n'a rien à voir avec le « cléricalisme ».
Addendum : sous un angle différent :
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