Je dois commencer par un hommage à Juan Branco : il a fait le choix de ruiner sa carrière technocratique par goût de la droiture (bien qu’il soit de gauche 😀).
Sur le fond, il ne nous apprend rien : nous nous doutions que le Système fonctionnait ainsi. En revanche, connaissant le Système de l’intérieur, il met des circonstances, des noms et des dates sur nos soupçons.
Dommage qu'il se laisse aller aux tics tels que d'invoquer le fascisme.
Je n'ai guère de doutes sur une honnêteté intellectuelle. En revanche, je suis perplexe sur son intelligence. N'est-il pas un abonné aux vielles lunes gauchistes (qui, par exemple, ne voient pas l'immigration musulmane de masse comme un problème mortel pour notre pays) ?
Sa fréquentation de Mélenchon soulève quelques interrogations.
Mais, au fond, le problème n'est pas là. Des penseurs qui pensent, nous n'en manquons pas.
Ce qui nous manque, ce sont les hommes d'action intelligents, capables d'agir en chefs de peuple.
A moins qu'on estime, comme Michel Drac, qu'il n'y a pas de solution que dans l'effondrement et le retrait par petites communautés, il est clair qu'il nous manque un chef d'envergure nationale, ayant les talents politiques d'un De Gaulle, d'un Trump, d'un Salvini.
Je ne me lasse pas d'espérer.
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