Je n'aime pas Stendhal.
Je suis une brute : pour moi, égotisme rime trop facilement avec nombrilisme et cela m'ennuie terriblement, à m'en décrocher la mâchoire à force de bâillements. J'apprécie les natures plus vigoureuses. J'ai bien du mal à comprendre comment un homme aussi énergique que Jean Prévost a pu s'éprendre de ce mollasson de Stendhal.
J'ai pourtant lu sans déplaisir la Chartreuse, pourtant je ne suis pas allé au bout (Stendhal non plus, d'ailleurs).
Mais (banalité) quel styliste !« Le 15 mai 1796, le général Bonaparte fit son entrée dans Milan à la tête de cette jeune armée qui venait de passer le pont de Lodi, et d’apprendre au monde qu’après tant de siècles César et Alexandre avaient un successeur. »
J'ai attaqué Rome, Naples et Florence en me disant que nous avions au moins l'Italie en commun. Raté ! L'ouvrage m'est tombé des mains.
Bref, Stendhal, c'était mon dernier essai.
Salutations Franck. Toujours absent de X où il était rafraîchissant de vous suivre? Il semblerait que le castorisme vit ses derniers jours et que les Français au bord de l'abyme renversent enfin la table. A suivre
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