La suite :
Merci aussi pour l'anonymat, le mien et celui du prof cité (mais je doute qu'il tombe un jour sur ton site : il en ferait sans doute une crise cardiaque !)
Rien de neuf en salle des profs, les débats politiques sont quand même très très loin de nous ... là on parlerait plutôt vacances [évidemment, les vacances sont une part conséquente de leur emploi dutemps !]
Je ne suis pas toujours très sûre que les profs s'intéressent vraiment à la politique, certes ils ont des idées. Mais des fois je me demande si ces idées ne sont pas ataviques. Parmi mes amies (le monde enseignant est très féminin), je constate beaucoup d'idées à gauche, cependant très peu argumentées (ce sont des rêves) et j'ai des fois l'impression qu'il ne faudrait pas grand chose pour les faire tomber (à conditions de savoir s'y prendre). En fait personne ne sait de quoi il parle (puisqu'on ne connaît rien à la vie économique), je ne sais s'il faut s'en réjouir (il y a une chance que ça change ? ) ou s'en désespérer (manque d'ouverture d'esprit, pas vraiment envie de s'intéresser au monde en général) Le tout est souvent très naïf (à force d'être avec des "enfants" ).
C'est ça: c'est naif. Mais la naiveté est un adversaire coriace.
RépondreSupprimer