Depuis le premier jour de sa révélation au public, je tiens Emmanuel Macron pour une imposture, une construction médiatique du Système. Le temps qui passe, qui se compte en années maintenant, a confirmé cette analyse, partagée sans doute par une bonne part des 81 % de Français qui n'ont pas voté Macron au premier tour.
Voilà maintenant qu'on découvre le goût de notre président pour la racaille :
Benalla est l’illustration ahurissante d’une constance chez Macron : son goût prononcé pour la racaille :
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Il suffit de tirer le fil Benalla pour voir apparaître une kyrielle de profils bien étranges pour un entourage de président. A commencer par les duettistes Makao et Jawad. Makao, de son vrai nom Alain-Gloirdy Bakwa Malary, le garde du corps fétiche de Macron durant la campagne présidentielle de 2017, un géant congolais devenu depuis vedette d’une émission de télé-réalité et de boîtes de nuit ; Jawad Bendaoud, le logeur des terroristes du 13 novembre 2015 et trafiquant de drogue, parce qu’il faut bien vivre. Une photo de Makao et Jawad, copains comme cochons, a défrayé la chronique voici seulement quelques semaines : ils jouaient ensemble à un jeu vidéo... A peu près au même moment, Brigitte Macron se prêtait tout sourire à des séances de pose avec Makao dans les jardins de l’Elysée.
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Durant deux ans, et cela compte dans la vie d’un homme qui n’en a que 26, Benalla a entretenu une relation étroite avec Karim Achoui. Ce nom ne dit rien au grand public. Il est, en revanche, connu dans le Tout-Paris de la police et du grand banditisme. A partir de 1999, Me Achoui a défendu les plus gros parrains du milieu français – ou pas. Poursuivi à de nombreuses reprises, il a toujours été relaxé jusqu’à ce jour de 2005 où il a été mis en examen pour complicité d’évasion du braqueur Antonio Ferrara. Après trois ans de détention, Achoui sera finalement acquitté, libéré et indemnisé d’un million d’euros par l’Etat. Pour autant, il est interdit d’exercer le métier d’avocat en France depuis 2011 et s’en allé exercer en Algérie... et au Maroc.
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Bien sûr, on évoquera, comme explications possibles et sans trop de risques de se tromper, la fascination bien connue de l'intellectuel de salon par la violence, le goût de la transgression chez le petit bourgeois et l'attirance de la tapette pour la brute sadique. Tout cela est personnel et ne changera guère mon mépris déjà abyssal pour Emmanuel Macron.
Ca prend un tour politique, quand on constate qu'aucune des racailles en question n'est du genre nazi à croix gammée mais plutôt viking d'outre-Méditerranée.
Au moment où l'immigration, la sécurité et l'islam sont les préoccupations majeures des Français, les affinités électives de notre président le montrent, c'est le moins qu'on puisse dire, aux antipodes du peuple, sauf s'il s'agit d'étudier le sujet de près, de ramener des devoirs à la maison en quelque sorte, comme le bon élève qu'il est resté, auquel cas nous ne pouvons que le féliciter chaudement.
Ce que sa prof a sans doute déjà fait.
Allez, une boutade sur le sujet :
Addendum :
L'infiltration de la présidence de la République par des racailles proches des milieux islamistes
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