Je suis d'accord avec Bruno Bertez.
Seuls les fayots abrutis de l'hyperclasse mondialiste (comme P. Gélie, le correspondant du Figaro à Washington) n'ont pas compris que Trump et l'hyperclasse mondialiste, représentée aux Etats-Unis par l'establishment américain et l'Etat Profond se livraient une guerre à mort, où tous les coups étaient permis.
Mis à part ces crétins, les partisans de Trump d'un coté et ceux du mondialisme de l'autre ont bien compris l'enjeu.
Notez par exemple qu'il y a d'un coté le FBI, la CIA et le Department of Justice et de l'autre le Pentagone, beaucoup plus proche des analyses de Trump.
L’IMPEACHMENT. LA GUERRE CONTRE TRUMP EST UNE GUERRE À MORT GLOBALE
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On aurait cependant tort de négliger la guerre qui est menée contre Trump, elle est féroce, elle va durer et elle ira jusqu’au bout car une partie des élites , celle qui s’est enrichie sur la globalisation, cette partie des élites joue son statut, son existence même. Nous sommes dans la lutte à mort et je pèse mes mots.
Nous sommes engagés dans une course à la guerre, guerre contre Trump et contre la Russie. Il faut que vous compreniez le lien entre les deux.
Trump a bravé les élites en rencontrant Poutine seul à seul Helsinki. La presse aux ordres, c’est à dire toute la presse a crié à la trahison. Trump semble même avoir accompli quelques progrès dans l’établissement d’une relation directe entre Washington et Moscou. Ceci a été complété par le voyage de Rand Paul en Russie. Lui aussi a été qualifié de traître.
La riposte ne s’est pas faite attendre, de nouvelles sanctions , des « sanctions d’enfer », ont été passées au Senat, sans que Trump ait eu son mot à dire, et il a de nouveau été forcé à la défensive. Il n’a rien pu faire pour s’y opposer. l’establishment ne laisse rien passer et chaque fois qu’une possibilité de rapprochement entre la Russie et les Etats-Unis se dessinent, elle est tuée dans l’oeuf. Le durcissement des relations est à chaque fois imposé à Trump. Poutine a d’ailleurs souligné dans un discours récent le fait que Trump ne contrôlait pas grand chose et que l’état profond menait une politique totalement opposée aux désirs de Trump. Il est rare qu’un chef d’état fasse référence au « deep state » d’un autre état souverain.
L’opposition à Trump est considérable aussi bien chez les démocrates que chez une partie des républicains, dans sa propre administration et même chez les gens qu’il a nommés !
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Attendez vous à ce que le glissement des contenus touche la question du racisme: on voit poindre la stratégie des élites, cousue de fil blanc contre tout ce qui est populiste, contre tout ce qui est de gauche extrême comme Corbyn par exemple ; il s ‘agit d’opérer le glissement magique, populiste =Russie et Russie = racisme.
Il faut réussir à coller l’étiquette « raciste » sur tout ce qui s ‘oppose aux prétentions des globalisateurs. C’est pour cela que les opposants à Trump s’efforcent de le peindre comme une supporter de l’Alt-Right. On voit la jonction quand Hillary Clinton elle même montre la voie puisqu’elle a osé déclarer que le président Poutine était le parrain, le god-father de l’Alt Right. Trump est le parrain des déplorables, des racistes, des white supremacistes, des xénophobes, des homophobes, des séparatistes, et ils se rejoignent … nous sommes en présence d’une vraie conspiration d’une entente afin de créer des liens des amalgames utiles pour influencer les opinions publiques et évincer tous ceux qui contestent l’ordre globaliste.
Nous sommes pris dans un gigantesque narrative, un roman qui est imposé jour après jour afin de repousser, de marginaliser, d’atomiser, de diviser et garder le pouvoir finalement , même sans gagner les élections. c’est le coup de Macron à la puissance dix.
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Quelle doit être la stratégie des partisans de Trump ?
Arracher aux bien-pensants leur magistère moral. Leur contester le privilège de dire le Bien et le Mal. Non seulement en argumentant avec rigueur (cela, tout le monde comprend) Mais aussi (cela, peu le comprennent) en exagérant, en faisant trop, en explosant la communication « raisonnable », car la communication pondérée est étouffée par le Système. Il faut tenir des propos tellement provocateurs que l'irrésistible goût du scandale l'emporte sur l'envie de censure.
Enfin, il faut faire le boa constrictor. Encercler, attaquer à la périphérie, ne pas attaquer l'essentiel, parce que c'est trop compliqué, parce que ça tourne à l'incompréhensible bataille de philosophes. Non. Il faut saper l'emprise du Système en minant la crédibilité de ses médias, sur des points simples et facilement démontrables.
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