Le terroriste, informaticien habilité Secret Défense, avait accès à des données sensibles (par définition, sinon, aucun besoin de l'habiliter). Il se dit qu'il s'agit des adresses des fonctionnaires de police de la PP. On imagine sans difficulté l'usage qu'il a pu en faire, à qui il les a envoyées. On ne doit pas très bien dormir en ce moment dans les familles policières.
Heureusement, les politiciens ont réfléchi à la question et s'attachent à l'essentiel :
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Et les journalistes se battent avec acharnement pour que nous soyons (dés)informés, avec un sens aigu des priorités :
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