Nicolas et, bien plus encore, Ségolène me font penser à ce paradoxe de la politique : les qualités nécessaires pour être élu ne sont pas celles qu'il faut pour gouverner, elles peuvent mêmes être des défauts pour gouverner.
Qui a étudié et développé ce paradoxe démocratique ? Son nom m'échappe ; mais je suis sûr qu'un de mes intelligents lecteurs a la réponse.
mercredi, novembre 22, 2006
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