dimanche, août 08, 2010

Rotterdam, capitale de l'Eurabie

Rotterdam, capitale de l'Eurabie
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7 commentaires:

  1. EiriaTemaoût 08, 2010

    Rotterdam c'est l'anticipation devant nos yeux.

    Nous (blancs, catho pour simplifier) allons disparaitre. cela ne fait aucun doute.

    Nous sommes submergés par l'Afrique et l'islam un jour règnera sur toute l'Europe.

    Les blancs seront chassés. Faut donc déjà prévoir pour ses enfants un asile.

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  2. Anonymeaoût 08, 2010

    un point positif : le porc hollandais ne viendra plus concurrencer nos producteurs bretons, avant qu'à leur tour....

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  3. fboizardaoût 08, 2010

    Notons que cela serait plus supportable si c'était synonyme de prospérité et de bien-être. Mais nous savons bien où cela mène : tiersmondisation et obscurantisme.

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  4. Anonymeaoût 08, 2010

    Je vous trouve bien pessimistes. Une des manies de l'époque, ivre de technologie et de science vulgarisée, consiste à prolonger les courbes.

    Mais l'histoire n'est pas une machine. L'histoire ne se fait pas dans un tableau Excel.

    Toutes ces prévisions apocalyptiques, dans lesquelles j'ai moi-même abondamment donné, se font toutes choses égales par ailleurs. Mais, justement, les choses ne restent pas égales par ailleurs. l'histoire et la politique sont pleines de bouleversements imprévus.

    Et puis il faut se méfier de ces prophéties auto-réalisatrices. Il est certain que si même les fachos répètent qu'on est foutus et qu'il n'y a rien à faire, eh bien on sera foutus et il n'y aura rien à faire.

    Il y a un moment où il faut faire la différence entre le journalisme et le militantisme.

    "Il n'y avait rien à faire", mais les Suisses ont voté contre les minarets. "Il n'y avait rien à faire", mais les Français viennent de se prononcer à une écrasante majorité pour des mesures énergiques contre la délinquance immigrée. "Il n'y avait rien à faire", mais Geert Wilders a créé à partir de rien une force politique majeure aux Pays-Bas. "Il n'y avait rien à faire", mais, après le mouvement des Tea Parties, il semble bien qu'Obama s'achemine vers un échec cinglant aux élections de novembre. "Il n'y avait rien à faire", mais le site Fdesouche, créé par deux fachos bas du front et sentant mauvais qui se réunissaient dans un bar mal famé, est probablement devenu en trois coups les gros le premier site d'information politique en France.

    "Il n'y avait rien à faire" en 1940, non plus. L'espérance est une vertu théologale.

    Comment savez-vous que les flux migratoires ne vont pas s'inverser, sans qu'il soit besoin de "charters" et de "trains de la honte" ? Il suffit de quelques mesures dissuasives bien choisies.

    Comment savez-vous que la natalité africaine en Occident ne va pas chuter ? C'est déjà arrivé à d'autres.

    Comment savez-vous qu'il n'y aura pas une vague de conversion des musulmans occidentaux au christianisme ? Cela existe déjà. Les musulmans ont tout à y gagner.

    Comment savez-vous que la coupure du robinet allocatif, rendue inévitable par les déficits publics, ne va pas stopper l'immigration ?

    Qu'est-ce qui vous autorise à dire que les Occidentaux, largement majoritaires chez eux et riches des ressources prouvées de leur savoir-faire, ne trouveront pas la volonté et les moyens de se défendre ?

    Qu'est-ce qui vous permet de dire que l'islam mondial ne va pas s'effondrer sous le poids de sa logique interne nihiliste, une fois tari le robinet pétrolier ?

    Etc, etc.

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  5. N°6août 08, 2010

    merci robert Marchenoir.
    vous avez raison et parfois, découragée j ai pensé à ceux qui s étaient suicidés de désespoir en voyant gagner les nazis et n avaient de ce fait jamais vu la libération.
    chaque jour un nouveau fait divers nous donne raison.
    les sondages récents qui rappellent LHLPSH auront un impact.
    les français visiblement ne veulent plus du discours bobo:la presse dont le moteur est tout de même l argent ne pourra donc plus continuer indéfiniment à nous en faire avaler. l adaptation aux consommateurs risque de faire évoluer les médias.
    ors les français souffrent essentiellement de manque d informations alors si cela change...

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  6. Anonymeaoût 08, 2010

    @Robert Marchenoir:
    Quand bien même les musulmans occidentaux apostasieraient ou plus encore se convertiraient au christianisme, ils ne pourraient jamais être considérés comme des européens, la plupart étant des arabes dont la place ne peut et ne doit être que dans leur pays d'origine du monde arabe. Nous ne devons pas chercher à les convertir, nous devons tous les expulser. C'est d'abord une question d'ethnie et de race, à laquelle vient se superposer la question de la religion pour ne rien arranger. Les nations viables dans le temps sont les nations homogènes ethniquement. Cela n'empêche pas les peuples respectifs de prendre plaisir à faire du tourisme chez l'autre et de chercher à construire des bonnes relations. Je pense que l'imaginaire culturel d'un individu ne peut totalement se découpler et s'affranchir des origines de cet individu, quelques efforts qu'il fournisse pour s'assimiler. Les individus ne sont pas interchangeables et ne peuvent pas prétendre avoir totalement la liberté de choisir entre toutes la culture qu'ils voudraient adopter.

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  7. Anonymeaoût 08, 2010

    On est d'accord. A preuve, cette information : un magazine de mode noir américain vient d'embaucher une responsable de la mode blanche ; l'intelligentsia noire hurle au scandale : les Noirs sont discriminés, une fois de plus.

    Certains trouvent même le moyen de crier au racisme. Oui, je sais, c'est assez subtil, la pensée des Noirs américains, mais lisez, vous verrez.

    http://blacksnob.com/snob_blog/2010/7/28/essence-hires-white-fashion-editor-gets-raised-eyebrows-temp.html

    Evidemment, l'argument est que les Noirs sont discriminés partout ailleurs, donc un journal noir ne devrait embaucher que des Noirs.

    Personne ne nous dit, toutefois, à partir de quel niveau d'embauches noires dans des médias blancs les Noirs ne seront plus discriminés, ni qui en sera juge.

    Il est clair que ce genre de situation est une impasse. Si, au début du XXème siècle, la Grèce et la Turquie ont décidé d'un commun accord d'échanger leurs populations allochtones (Turcs de Grèce, et Grecs de Turquie), malgré tous les drames humains que cela allait inévitablement provoquer, ce n'est pas un hasard.

    Seule une minorité de Noirs américains (pour ne citer que cet exemple) est arrivée, et arrivera, à échapper à ce complexe du perpétuel ressentiment.

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