Je ne suis pas un fervent démocrate, et pourtant la condescendance que montrent les européistes vis-à-vis des peuples finit par franchement me taper sur les nerfs.
Les sourires en coin des parlementaires européens quand Nigel Farage évoque les souffrances des peuples grec et espagnol mériteraient un bon coup de fusil à travers la gueule. En pensant à ce qu'est le chômage dans un pays en crise, on a vraiment envie d'effacer à la chevrotine ces sourires indécents de parasites qui vivent somptueusement aux frais des contribuables.
Je ne crois pas beaucoup à une révolution violente en Europe. Mais si elle arrive, les européistes auront tout fait pour cela et, bien que n'ayant pas la tripe sanguinaire, j'espère que quelques uns seront pendus à la lanterne.
samedi, janvier 26, 2013
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire