Pierre Gattaz est aussi con que prévu. Il ne pouvait en être autrement d'un patron qui dépend autant des commandes de l'Etat. C'est un adepte du capitalisme de connivence ou de ce qu'Alain Madelin appelle le socialisme patronal.
Le patron est plongé dans la microéconomie. Il a de bonnes raisons d'être totalement nul en macroéconomie. C'est à l'évidence le cas de Pierre Gattaz.
Ce n'est pas par sentimentalisme que je suis contre sa proposition mais parce que c'est économiquement idiot de renforcer la trappe à bas salaires.
Trois choses font la prospérité : le talent, le capital et la liberté de les utiliser.
Autrement dit :
> taxation la plus proportionnelle possible ( par opposition à progressive) de manière à ne pas peser sur les choix.
> refuser les subventions en échange de baisses d'impôts.
> alléger les 10 500 lois et 127 000 décrets. Cela passe par la baisse du nombre de ministres, députés et fonctionnaires.
> demander des baisses d'impôts (sur le capital et le travail) uniformes et gagées sur des économies de dépenses publiques, pour en assurer la pérennité.
mercredi, avril 16, 2014
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