Pendant qu’un troupeau d’abruties (si leur moteur psychologique est la peur névrotique du mâle- ce sont des adolescentes névrosées qui monopolisent la parole médiatique , leur moteur intellectuel est clairement la stupidité crasse) genre Schiappa et de Haas promeut une vision des relations entre sexes toute en nuances « femmes gentilles, toujours victimes ; hommes méchants, toujours coupables », l’actualité vient nous rappeler avec une ironie cruelle que les relations hommes-femmes sont beaucoup plus complexes.
En effet, d’après les éléments que nous connaissons, Alexia Daval est victime et son mari coupable, c’est tout ce qu’ont vu les castratrices donneuses de leçons.
Pourtant, il semble qu’elle n’ait pas toujours été gentille et son mari toujours méchant et que le moteur de ce conflit était la stérilité. La procréation est encore au cœur de la dissymétrie entre les sexes.
Comme de plus en plus souvent, je suis écœuré par la stupidité des commentaires que je lis sur internet : on est soit un ange soit un démon. C’est-à-dire tout sauf un être humain. Les méandres du cœur n’ont plus droit de cité. Le malheureux qui évoque qu’on peut parfois aimer sa femme et la tuer se fait incendier. Othello, c’est pour eux, au mieux, un jeu de société.
J’en ai marre de cette époque maudite où l’espace public est saturé des hurlements de haine des plus cons.
Les réseaux prétendus sociaux sont une calamité.
jeudi, février 01, 2018
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