Vous jugerez vous-même du motif :
Ca confirme tellement tout ce que je pense que je n'ai pas grand chose à ajouter :
1) Aujourd'hui, le crime suprême est de rappeler que la réalité existe.
2) Une conséquence directe de 1) est que la censure est indispensable, souhaitable, recommandée, habituelle. La liberté est détestée, haïe, honnie, crainte.
3) Les « transexuels » sont les nouvelles vaches sacrées.
Il ne faut pas chercher ailleurs que dans sa propre folie furieuse les sources du discrédit qui frappe l'Occident dans le reste du monde.
Redisons le une bonne fois pour toutes :
Les transexuels n’existent pas. Il n’y a que des travestis, qui ont de graves problèmes psychologiques et qu'il est immoral d'entretenir dans leurs problèmes.
Comme quoi, avec ou sans Elon Musk ça ne change rien !
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SupprimerLe plus dérangeant, c'est l'arbitraire. Il est impossible de trouver dans mon touit de la « haine ».
Disons qu'Elon simultanément maître de twitter et d'une IA peformante pour classifier des contenus, et "twittant" que la liberté d'expression doit être garantie, mais que la capacité d'atteindre son audience doit être conditionnée(*) - ça ne peut que bien se passer...
Supprimer(*) twitter.com/elonmusk/status/1593673339826212864
un des derniers tweet d'Elon... Ca va bien se passer... https://twitter.com/elonmusk/status/1636898888287236099
SupprimerIl ne faut pas mettre tous les problèmes de Twitter sur le dos d'Elon Musk. Le type a des tas de chats à fouetter. Il a fixé un cadre général et comme tout logiciel, il peut y avoir des bugs.
SupprimerLes « transexuels » sont les nouvelles vaches sacrées et si ils sont ukrainiens fuyant Poutine encore meiux.
RépondreSupprimerA mon avis c'est le fait de dire que les transexuels n'existent pas mais que les travestis existent qui a choqué le logiciel. En plus vous ajoutez qu'ils sont en grand désordre mental...
RépondreSupprimerFactuellement, ce n'est pas une incitation à la haine mais une simple stigmatisation de la différence. En toile de fond, c'est plutôt drôle.
Dans l'aplanissement généralisé des opinions, donner son avis est interdit en dehors de la pluie et du beau temps.
En prenant plus de recul, je rappelle que l'homosexualité était jugée comme un trouble mental par l'OMS jusque dans les années 90...
Pour ma part, je connais pas mal d'homo, ils m'ont l'air ni plus ni moins perturbés que la moyenne générale. Leur sexualité me choque mais je ne suis pas homo et je n'ai aucun désir face à un corps masculin.
Ensuite, les homos homme ont une vie sexuelle assez débridée (cf Pierre Palmade) mais là aussi, c'est la pulsion de vie des hommes qui en est la cause et quand vous avez deux hommes qui s'aiment, ben ça va loin. Quant aux homos femme, j'en connais très peu et elles sont en couple depuis fort longtemps.
Les travestis ont un très sérieux pet-au casque. Ils ne suscitent pas chez moi de la haine mais une pitié dégoutée.
RépondreSupprimerCe n'est pas si simple, il y a des homos très masculins, donc pas travestis. J'avoue que tout ça m'est totalement incompréhensible, comment un instinct aussi fondamental peut-il être inversé (inverti) ?
RépondreSupprimerA première vue de ce que je vois, les homos sont attirés par les hommes, et les lesbiennes détestent les hommes plus qu'elles aiment les femmes...
Je constate également dans les deux cas un fort besoin de provocation et transgression.
Aussi je constate que les lgbtqi+ qui étaient quasiment invisibles dans les années 70 deviennent de plus en plus visibles, plus agressifs, plus ils sont soutenus, promus et subventionnés par les institutions. Une époque de décadence absolument inédite dans notre histoire. Pour info j'ai un très bon ami qui a renoncé à l'homosexualité à 25 ans pour se marier et fonder une famille (il est catho tradi et a maintenant une dizaine de petits enfants). J'ai en tous cas la preuve que c'est possible, avec la grâce.
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