jeudi, juin 28, 2012

La peine de mort et les ballons

Nourri de Victor Hugo et d 'Albert Camus, j'ai longtemps été abolitionniste.

Puis j'ai lu Romain Gary.

Bien sûr, on nous dira, commme toujours quand les "grands démocrates" veulent faire taire des importuns, que le débat est clos. Circulez, y a rien à voir. Mais, quand il s'agit de sauver notre société, il n'y a pas de débats clos.

Il est vrai que tout cela est bien loin de la France de 2012 : aujourd'hui, quand un lycéen étrangle un camarade, on lache des ballons.

CPEF

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