samedi, octobre 06, 2012

Le suicide par le féminisme

J'ai déjà dit que notre pays se suicidait par le socialisme, il se suicide aussi par le féminisme. Les deux phénomènes sont liés puisque les femmes votent désormais à gauche. La féminisation de la société entraine plusieurs conséquences néfastes (et, à vrai dire, je ne vois guère de conséquences positives) :

 > le déclin démographique : à partir du moment où les femmes ont entièrement le contrôle de la natalité et où l'homme n'est plus qu'un accessoire de mode, la natalité ne peut être que déclinante. Une ou deux grossesses, ça passe, dix, c'est rasoir.

> le chaos : l'homme, c'est la loi et la guerre. La femme, c'est le pardon de toutes les fautes et la soumission au plus fort. Les enfants deviennent de vrais petits fauves pourris de narcissisme et le budget de la défense est réduit d'année en année. Nous sommes donc condamnés à subir le chaos intérieur et le péril extérieur.

> la stérilité intellectuelle. Où est-elle la Vinci au féminin ? L'«auteure» qui vaut Stendhal ? Paraît-il que l'absence de génies féminins était due à l'infâme oppression patriarcale. Pourtant, depuis que la femme est «libérée», pas plus de génies féminins. La vérité est que les femmes conservent mais ne créent pas. Elles ne rêvent pas d'être Livingstone ou Pasteur. Seule une société féminisée peut inventer le délètère principe de précaution.

Le bilan ? Un suicide civilisationnel. Les hommes de chez nous ayant été castrés, on importe un mâle de substitution : l'immigré, qui -je ne sais si vous avez remarqué- n'est pas un héraut du féminisme. Mais la transplantation se passe mal.

Il n'y a pas de secret : n'en déplaise aux progressistes, les deux sexes sont complémentaires. Dans les sociétés occidentales, l'équilibre avait été trouvé : aux hommes le pouvoir social, celui qui se voit, aux femmes le pouvoir privé, celui de la psychologie.

Cet équilibre a été rompu par deux guerres mondiales qui ont dévalorisé aux yeux des hommes leurs fonctions traditionnelles, guerrière et politique. Les femmes n'ont pas tant conquis le pouvoir que ramassé le pouvoir abandonné par les hommes.


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