dimanche, octobre 23, 2016

Le flirt

Les islamistes et les féministes ont un point commun : ils détestent les relations entre les hommes et les femmes dans toute leur complexité, ce mélange d'attirance et de répulsion, de domination et de soumission, de force et de fragilité, le jeu constant des faux-semblants et de la grande sincérité.

La vision des islamistes, la femme est une pute qu'il faut enfermer, et la vision des féministes, l'homme est un prédateur qu'il faut enfermer, s'emboitent à la perfection. Ils s'entendent à merveille sur la culpabilisation du désir et dans l'obsession des règles sociales pour le réprimer.

C'est pourquoi mettre la complaisance des féministes pour les islamistes (voir le traitement des viols de Rotherham et de Cologne) sur le compte de la lâcheté et du politiquement correct est vrai mais très insuffisant. Leur convergence est bien plus profonde. Les islamistes et les féministes ont en commun d'être des frustrés, des mal-baisés. Cela existe mais pourquoi leur laisse-t-on prendre le pouvoir ?

Maintenant que cela est dit, venons à l'objet de ce billet, le flirt, la séduction.

Premier point, important : je n'y comprends rien. Bon, il y a un peu de coquetterie dans cette affirmation, sinon je ne serais pas marié, ou alors sur un très gros malentendu. Disons que, une fois qu'on connaît la théorie, il y a mille manières de pratiquer.

C'est là que les problèmes commencent, c'est pourquoi je vous laisse avec un maitre :



Un peu plus sérieux, du même maitre :

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