samedi, janvier 13, 2018

L'attrait de l'islam

L'islam et ses attraits

Ce que raconte Alain Besançon dans cet article peut se résumer beaucoup plus simplement.

L'islam est une religion pour abrutis et, ça tombe bien pour lui, les populations occidentales qu'il tente de conquérir sont de plus en plus abruties.

Là est son attrait fondamental pour les occidentaux, qui explique qu'il ne soit pas plus combattu par des gens dont ils heurtent pourtant la culture (mais justement, de culture, ils en ont de moins en moins).

Les musulmans le disent évidemment de manière plus positive, mais ils ne disent pas vraiment autre chose quand ils estiment que l'islam est une religion simple, naturelle et à hauteur d'homme tandis que le christianisme est compliqué, anti-naturel et trop exigeant.

Le jugement de Lévi-Strauss n'était pas un compliment :

« si un corps de garde pouvait être religieux, l’Islam paraîtrait sa religion idéale : stricte observance du règlement (prières cinq fois par jour, chacune exigeant cinquante génuflexions [sic]) ; revues de détail et soins de propreté (les ablutions rituelles) ; promiscuité masculine dans la vie spirituelle comme dans l’accomplissement des fonctions religieuses ; et pas de femmes. »

Mais force est de constater que notre société ressemble de plus en plus à un corps de garde. Le sens de la nuance et la complexité sont vues comme des ennemies car ils obligent à penser, ce qui pour beaucoup est trop fatigant.

A cet égard, la mode #BalanceTonPorc est aveuglante comme un projecteur de DCA. Elle a de nombreux ingrédients, mais l'un des principaux est la paresse intellectuelle et psychologique : asséner et ne pas se remettre en cause, se tenir au chaud dans le troupeau, hurler avec les loups. Le réflexe plutôt que la réflexion.

On mesure à quel point la liquidation du catholicisme populaire par un clergé intellectualisé est une catastrophe de premier ordre, quasi un suicide.

En effet, la réponse aux séductions de l'islam en Occident n'est pas ce #@?_/?♝ de pape François qui ne plaît qu'aux bobos mais une dévotion authentiquement populaire et là, pas de pot, c'est difficile de ressusciter quelque chose qu'on s'est acharné à tuer pendant des décennies.












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