J'ai bien conscience de la gravité de mon propos.
Heureusement, quelques témoins du Christ relèvent le gant :
Le réquisitoire de Benoit XVI sur la crise dans l’Église
C'est dans l'ordre des choses que peu les soutiennent et beaucoup leur crachent au visage :
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Cardinal Sarah
Rappel. Le texte est ici.
Autres réactions:
Massimo Faggioli, professeur de théologie (qui avait déjà vigoureusement dénoncé les propos de Mgr Vigano) :
« Si l’entourage de Benoît XVI n’est pas démantelé ou mis dans la condition de ne pas faire de mal après ce qui s’est passé dans les deux derniers jours, je ne sais pas quel genre d’incident il faudrait. »
Tweet retwitté par le théologien François Euvé, directeur des Etudes.
Isabelle de Gaulmyn :
« L’intervention de Benoît XVI pose la question du statut du pape émérite. Si on veut que les papes démissionnent alors ils doivent ensuite observer un devoir de réserve. Sinon on va au schisme. »
Voir aussi ici.
Et l'important commentaire de Peter Butler, indiquant que Benoît XVI avait écrit ce texte pour qu'il soit distribué aux évêques réunis par François.
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1) les progressistes dans l’Eglise ont compris qu’ils perdaient du terrain mais que l’Eglise est une monarchie et qu’ils suffisaient d’imposer leur candidat à la tête pour imposer leur doctrine diabolique. La démission de Benoit XVI et l’élection de François Zéro sont très loin d’être éclaircies. Par exemple, fait avéré : le système de paiement international SWIFT (sur ton RIB, tu as un code SWIFT) qui ne tombe « jamais » en panne, est tombé en panne juste pour le Vatican pendant le conclave.
2) L’évêque de Nanterre nous a fait un beau texte dans la ligne du Parti, c’est-dire fondamentalement menteur : les affaires de « pédophilie » (qui sont en réalité des affaires de pédérastie) seraient causées par des « abus de pouvoir » des prêtres. C’est absurde : on ne voit pas pourquoi, tout soudain, les prêtres se seraient mis à abuser de leur pouvoir. En revanche, la changement qui saute aux yeux, c’est que depuis les années 60, les fins dernières, le Malin, le péché, le Jugement dernier, ne sont plus enseignés.
Je suis aussi frappé de la violence du mépris et des sarcasmes des commentateurs du Figaro. Exactement le comportement des persécuteurs du Christ !
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