Mégaphones
mschifres@lefigaro.fr
16/01/2008 | Mise à jour : 11:19 Le billet de Michel Schifres du 16 janvier.
Faute, selon elle, de pouvoir être entendue, l'opposition utilise des mégaphones lors des séances du conseil municipal d'Asnières. Ce folklore fait grand bruit. Non seulement dans la mairie où les délibérations prennent des allures de manifestations. Mais aussi sur le Net où ces images rencontrent un succès considérable chez les sites spécialisés dans la diffusion des vidéos de la vie quotidienne : Asnières est, du coup, devenue une star de la Toile. Voilà, n'en doutons pas, qui renforce l'espoir quant à l'avenir de la démocratie et bouscule des idées reçues. Oui, la politique passionne : encore doit-elle donner de la voix et utiliser les méthodes des discothèques. Si, il faut hurler pour être écouté. Oui, l'internationale des braillards a le vent en poupe. Il est vrai qu'en ce domaine, le terrain est quelque peu encombré.
*********************
Dans ce monde de fous et d'imbéciles, il fait bon lire en silence. Amis lecteurs silencieux, bien le bonjour.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Tout à fait
RépondreSupprimerJe viens de finir "Notre existence a-t-elle un sens" de Jean Staune.
Que ça fait du bien de lire les gens intelligents.
Loin du réchauffement durable et citoyen, et des braillard........
Pour ma part, j'ai achevé ce matin la somme de Schoek l'Envie, une histoire du mal.
RépondreSupprimerJe le recommande chaudement à tout ceux qui veulent comprendre un des ressorts importants et méconnus de l'âme humaine et plus largement des socialistes de tous poils!
J'entame A. Sauvy Chômage et inflation, l'économie du diable. Les premières pages m'ont déjà fait pleurer, car elles montrent combien l'erreur économique est une chose bien partagée, notamment chez nos élites - cf. les quelques phrases qui démontent les 35 heures pp. 23-24 et la citation de J. Attali p. 33 -.
Bonne journée et bonnes lectures à vous.
Oouups, je viens de relire le post, désolé pour avoir cliqué trop vite et les fautes de français qui s'y trouvent.
RépondreSupprimer