Ségolène Royal s'excuse pour la deuxième fois auprès d'étrangers pour des propos tenus par Nicolas Sarkozy, président de la république en exercice.
Comme disent les Anglais «Right or wrong, my country». Le président de la République représente la France. Si on juge qu'il la représente mal, on est libre d'en débattre entre Français, mais y mêler les étrangers est absolument indécent. C'est une petite trahison.
Un tel comportement est indigne de quelqu'un qui aspire à ces hautes fonctions.
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Par ailleurs ceux qui ont reporté ces propos privés au sein de la Présidence de la République et ceux qui les ont diffusé, ne sont ni plus ni moins que des salauds.
RépondreSupprimerSégolène étant une cruche, ce dernier qualificatif ne peut lui être appliqué. Les salopes ne sont jamais des cruches.
Gogolène n'a pas le niveau, c'est clair.
RépondreSupprimerEffet subliminal de ségolène : " je suis la femme d'état qui représente la France - virtuelle - de tout ceux qui n'ont pas voté pour le président ou ne le supportent pas"
RépondreSupprimerC'est osé ... Je serai curieux de voir comment évolue son image globale vis à vis des Français avec cette stratégie
Gogolène, pas le niveau ? Pas le niveau pour quoi ? Pour gouverner, c'est sûr. Pour être élue, c'est moins sûr.
RépondreSupprimerElle a un flair médiatique et un toupet qui, dans nos modernes barnums électoraux, remplacent assez bien l'intelligence.
Je connais des gogolénistes convaincus qui préfèrent voter pour Royal que pour le «fachisse» Sarkozy.
Bien évidemment, nos discussions politiques tournent vite court.
Th,
Vous dites vrai : depuis l'élection présidentielle, Gogolène fait comme si elle avait gagné et, dans une certaine mesure, ça marche.
de derrière les fagots :
RépondreSupprimerSEGOLENE ROYAL : CE QU’EN DISAIT SON ONCLE…
François Michel Gonnot, député de la 6ème circonscription vient de publier un nouvel article sur son blog: " Voici l’article que le général de brigade TdM Pierre Royal a fait paraître dans son bulletin de promotion en
mai 1992 : « Suite aux nombreuses questions qui me sont posées quotidiennement concernant mes liens de parenté avec Ségolène Royal, le nouveau ministre de l’Environnement, je tiens à effectuer la mise au point
suivante : Ségolène Royal est ma nièce, fille de mon frère aîné Jacques, qui a terminé sa carrière militaire avec le grade de lieutenant-colonel dans l’artillerie de Marine. Si je ne partage en aucune façon ses options politiques, l’esprit démocratique me contraint à les supporter. Par contre, je ne puis admettre que, pour construire sa carrière politique, elle ait sali de façon outrageante la mémoire de son père. Lors de la sortie de son livre « Le printemps des Grands-parents », titre très cocasse quand on saura qu’elle a été particulièrement odieuse avec mes parents (ses grands-parents) elle a accordé un certain nombre d’interviewes d’où il ressortait qu’elle avait eu une enfance très dure du fait de son père, militaire rigide et
borné qui la brimait. Par contre, au moment de la guerre du Golfe, dans une interview du journal « La nouvelle République du Centre », elle disait son soutien aux soldats français, évoquant avec émotion le souvenir du départ de son père pour l’Algérie et sa mort au combat (en réalité, mon frère est mort
d’un cancer en 1981) ! (…) En conséquence, je n’ai aucune relation avec cette jeune femme, résolument mythomane et j’ai honte de voir le nom de ma famille ainsi galvaudé »"
Ignare «Ségolène Royal, c’est une inculture de taille encyclopédique, une sorte de trou noir de la science, une ignorance crasse.»
Louis Mexandeau, ancien ministre socialiste,
Au fait, c'est quoi, ses deuxièmes excuses ? J'ai vu celles faites aux Africains, mais j'ai raté la suite.
RépondreSupprimerA Robert : des propos pas sympas que Sarkozy aurait tenus en privé à propos de certains chefs d'Etat venus pour le G20.
RépondreSupprimerTraiter Ségolène de cruche, ce n'est pas sympa pour les cruches : dans les pays où il n'y a pas l'eau courante, un cruche a une utilité certaine.
S'il faut se limiter à faire confiance aux français pour "éliminer" Ségolène, ça craint.
RépondreSupprimerJe doute que ces excuses à répétition passent très bien dans l'opinion : quoiqu'on pense de Sarko, on a sa fierté et s'excuser auprès d'étrangers n'est pas très reluisant.
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