On n'a pas fini d'entendre des conneries et d'en rire.
Il va passer chez Ruquier, chez Drucker «Dites Julien, c'était comment la prison ? Comme vous avez du souffrir ...» Et l'autre, je le vois d'ici, sensible-mais-dur-au-mal : «Vous savez il y en a qui souffrent beaucoup plus que moi de l'arbitraire du pouvoir.»
Avant peu, je parie qu'il sera dans les sondages aux places habituelles de Kouchner et de l'abbé Pierre. Et on n'a vraiment pas fini de rigoler.
jeudi, mai 28, 2009
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