Il a pété les plombs, le Lomig ! Sa thèse ? Voter Aubry en 2012 pour forcer la droite, dans l'opposition, à devenir libérale. Nimporte nawak !
Il oublie que, depuis trente ans, droite et gauche ont alterné au pouvoir sans jamais que la droite ne devienne libérale. Je ne vois pas par quel miracle cela changerait. Le libéralisme suppose une intelligence et une modestie inaccessibles aux paons qui nous gouvernent.
D'autant plus que la gauche sera forcée, comme en 1983, de mettre une dose de libéralisme dans son socialisme. Donc la droite aura beau jeu de soutenir que c'est justement là où la gauche met du libéralisme qu'il faudrait plus d'Etat.
Décidément, non : la politique du pire repose sur l'image erronée de la piscine. Quand on a touché le fond, on pousse et on remonte. Cela suppose que la connerie des politiciens français a un fond, une telle pensée est un acte de foi ! Au contraire, l'histoire des dernières décennies nous laisse supposer qu'elle n'a pas de fond.
Dans ce cas, il faut voter pour le moins pire. Ou ne pas voter.
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