Richard Descoings est mort. Je ne peux pas dire que je vais beaucoup le pleurer : à la tête de Sciences Po, il s'est comporté en véritable Attila de toute instruction, légitimant les lubies les plus dévastatrices du respect pour le savoir, de la "discrimination positive" à la suppression de l'épreuve de culture générale en passant par le salaire de footballeur.
Espérons que son remplacement sera l'occasion d'une salutaire remise en cause. Hélas, je ne me fais guère d'illusions.
mercredi, avril 04, 2012
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