Je tombe sur cet article du Figaro à propos des grèves étudiantes au Québec. Passons sur le fait que le concept de grèves pour des gens qui n'ont pas d'activité professionnelle m'a toujours paru étrange.
La journaliste française décrit la «dénonciation unanime» de la loi destinée à briser ces grèves. Comme l'article dit aussi que la loi a été votée à une forte majorité, je m'interroge sur la réalité de cette «dénonciation unanime». En moins de trois minutes de recherche, je tombe sur un un sondage canadien disant que le public sondé approuve cette loi à 66 %.
Autant pour la «dénonciation unanime» !
On a vraiment l'impression que les journalistes vivent dans un univers parallèle au nôtre où les mots n'ont pas la même signification, seuls comptent les avis de ceux qui causent dans le poste et les règles de la logique diffèrent.
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