L'Etat, qui vole déjà 46 % de la richesse nationale (et en emprunte 10 % de plus), envisage de taxer les heures supplémentaires avec effet rétroactif.
Nous ne vivons pas dans un pays libre, mais dans un pays où une caste de profiteurs achète, par l'intermédiaire du racket fiscal, les clientèles qui lui permettent de se maintenir au pouvoir, aux dépens de la partie la plus saine de la population.
Nous ne vivons pas dans un pays libre. Nous vivons dans un pays de dictature oligarchique, une kleptocratie, dictature molle certes, mais dictature quand même.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire