Il y a quelques mois, des libéraux (dont je tais le nom par charité) se sont engagés aux côtés de François Bayrou. C'etait surtout le fait de libéraux avides de capter les feux de la rampe. J'avais alors écrit que cela ne me paraissait pas judicieux.
On m'avait pris pour un con. Comme je n'aime pas cela et que la vengeance se mange froid, me revoilà : Bayrou était bien une impasse.
Il faut se faire une raison : il n'y a pas d'espoir dans l'immédiat en politique pour le libéralisme, pas après cinquante ans de matraquage socialiste et dans des institutions taillées pour l'étatisme. La reconquête est intellectuelle, c'est un travail ingrat. Et tant pis pour les libéraux en mal de célébrité.
vendredi, août 31, 2012
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