Tout est déjà dit sur la psychologie du socialisme par Gustave Le Bon.
Mais amusons nous tout de même. Les socialistes adorent psychiatriser leurs adversaires : critiquer le socialisme, c'est une preuve de folie.
Retournons l'argument pour le plaisir de jouer.
Un président socialiste déclare, alors qu'il n'est que candidat : "C'est vrai, je l'avoue, je n'aime pas les riches". Or, il se trouve que ce monsieur se classe parmi les riches selon sa propre définition. Cela ne relève-t-il pas un petit peu de la psychiatrie ?
Mais peut-être est-ce une exception ?
Hé bien non, regardez le parcours des socialistes, les Fabius, les Strauss-Kahn, ce sont tous des grands bourgeois. Je regarde autour de moi : à quelques exceptions près, les socialistes que je connais sont tous des dégueulasses qui s'achètent une conscience vis-à-vis de leurs dégueulasseries en votant socialiste, manière de se débarrasser de leurs devoirs vis-à-vis de leurs compatriotes en payant des impôts.
Ils donnent des leçons à la terre entière, mais quand il s'agit non plus de parler mais d'agir, alors là, c'est les grandes vacheries, la saloperie par bidon de 50 litres.
Ce n'est peut-être pas une maladie mentale, c'est au moins un comportement peu digne d'être cité en exemple aux enfants.
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